André Chénier : Liste des Poèmes

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André Chénier est un poète et journaliste français du XVIIIe siècle. Né en 1762, il écrit d'abord des poèmes influencés par l'Antiquité avant de se politiser au contact de la Révolution Française. Ses positions contre Robespierre et les Jacobins le conduiront à la guillotine en 1794.

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus

Les Plus Beaux Poèmes d'André Chénier 

Tous les poèmes d'André Chénier classés par ordre alphabétique

• À Abel
• À Charlotte Corday
• À compter nos brebis je remplace ma mère
• À de Pange
• À de Pange aîné
• À Fanny (I)
• À Fanny (II)
• À Fanny (III)
• À Fanny malade
• À l’hirondelle
• À La Barre
• À la France
• Ah ! je les reconnais, et mon cœur se réveille
• Ah ! le pourrai-je au moins ?
• Ah ! ne le croyez pas que par moments j’oublie
• Ah ! portons dans les bois ma triste inquiétude
• Ah ! prends un cœur humain, laboureur trop avide
• Ainsi le jeune amant
• Amymone
• Arcas et Bacchylis
• Art d’aimer, fragment II
• Art d’aimer, fragment III
• Art d’aimer, fragment VI
• Art d’aimer, fragment VIII
• Au chevalier de Pange
• Aux frères de Pange
• Aux premiers fruits de mon verger
• Bacchus
• Bel astre de Vénus...
• Blanche et douce colombe
• Byzance, mon berceau
• Chrysé
• Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre
• Des belles voluptés la voix enchanteresse
• Des monts du Beaujolais
• Dryas
• Épilogue
• Euphrosyne
• Fille du vieux pasteur, qui d’une main agile
• Hercule
• Hylas
• Il n’est donc plus d’espoir, et ma plainte perdue
• Il n’est que d’être roi pour être heureux au monde
• Ils croyaient se cacher dans leur bassesse obscure
• Ils vivent cependant et de tant de victimes
• Invocation à la Poésie
• J’étais un faible enfant qu’elle était grande et belle
• Je sais, quand le midi leur fait désirer l’ombre
• Jeune fille, ton cœur avec nous veut se taire
• L’Amérique
• L’amour endormi
• L’amour et le berger
• L’amour laboureur
• L’art, des transports de l’âme est un faible interprète
• L’Aveugle
• L’invention
• L’Oaristys
• La jeune captive
• La jeune Locrienne
• La Jeune Poésie
• La jeune Tarentine
• La Liberté
• La Seine en sortant de Paris
• Le jeune malade
• Le Mendiant
• Le Poète
• Les colombes
• Les esclaves d’Amour ont tant versé de pleurs
• Les Jardins
• Lydé
• Marseille
• Médée
• Mes chants savent tout peindre
• Mnaïs
• Mnazile et Chloé
• Néère
• Ô délices d’amour ! et toi, molle paresse
• Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose
• Ô Muses, accourez ; solitaires divines
• Ô nécessité dure ! ô pesant esclavage !
• Oh ! puisse le ciseau qui doit trancher mes jours
• On dit que le dédain froid et silencieux
• On vit ; on vit infâme
• Où sont ces grands tombeaux
• Pannychis
• Pasiphaé
• Quand au mouton bêlant la sombre boucherie
• Quand d’un souffle jaloux la Parque meurtrière
• Sa langue est un fer chaud
• Salut, ô belle nuit, étincelante et sombre (L’Amérique)
• Souffre un moment encor
• Souvent le malheureux songe à quitter la vie
• Souvent le malheureux sourit parmi ses pleurs
• Sur la mort d’un enfant
• Sur un groupe de Jupiter et d’Europe
• Suzanne
• Tel j’étais autrefois
• Terre, terre chérie
• Toujours ce souvenir m’attendrit et me touche
• Tout homme a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères
• Triste vieillard
• Un jour le rat des champs
• Un vulgaire assassin va chercher les ténèbres
• Versailles
• Voilà ce que chantait aux Naïades prochaines
• Voûtes du Panthéon

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