19ème siècle, Ernest Chebroux, Poèmes
Chantons la muse aimable, Celle qui, sans façon, Les coudes sur la table, Dit sa folle chanson. Au chant nébuleux et maussade, Qu'enfante maint cerveau chagrin, Préférons un joyeux refrain Qu'on répète en buvant rasade. Chantons le vin qui donne Bonne humeur et santé...
19ème siècle, Ernest Chebroux, Poèmes
A mon compatriote et ami Arthur Ranc. Par un matin, souriant dans la brume, O vieux Poitou, tu parais à mes yeux, Avec tes prés où paissent les grands bœufs, Avec tes bois que le genêt parfume ! Tout parle ici de mon lointain passé : De blonds enfants c'est un essaim...