Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Charles Guérin. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Charles Guérin est un poète français du XIXe siècle. Né en 1873 dans une riche famille d'industriels, il reçoit une éducation religieuse qui influence sa poésie. Il fréquente assidûment la société littéraire parisienne avant de mourir à 33 ans, en 1907, d'une tumeur au cerveau.
Tous les poèmes de Charles Guérin classés par ordre alphabétique
- Ah ! ce bruit affreux de la vie !
- Ah ! Seigneur, Dieu des coeurs
- Ainsi qu’un lierre obscurceint le bord d’une coupe
- Au bout du chemin
- Avant que mon désir douloureux soit comblé
- Avec le ciel doré, le vent, la voix
- Avec ses espaliers de luxure et de fastes
- Ce cœur plaintif, ce cœur d’automne
- Ce soir après la pluie est doux
- Ce soir je reprendrai mon chemin solitaire
- Ce soir, sur le chemin sonore du coteau
- Chansons, chansons, chansons
- Charme indéfinissable et fin, le soir d’été
- Comme un roseau plaintif au bord de la rivière
- Conseils au solitaire
- Contemple tous les soirs le soleil
- Dans la soudaine nuit d’une jarre de terre
- Dans ton décor naïf tu m’apparais
- Dernières paroles du poète
- Deux papillons faisaient l’amour sur une rose
- Devant le ciel de nacre et d’or
- Du seuil de sa prison charnelle
- Écoute, quelqu’un chante ou soupire...
- Encore un peu ta bouche en pleurs
- Entre mon rêve et toi
- Entrerai-je, ce soir, Seigneur, dans ta maison
- Épitaphe pour lui-même
- Été des vieilles joies
- Goûte, me dit le Soir de juin avec douceur
- Il a plu un soir de juin
- Il est si tard
- J’ai croisé sur la route où je vais dans la vie
- J’ai dans l’âtre encore vide et sévère
- J’écris ; entre mon rêve et toi la lampe chante
- J’étais couché dans l’ombre au seuil de la forêt
- J’imagine souvent ta maison
- Je subis la peine du dam
- Je t’apporte, buisson de roses funéraires
- Je te vois anxieuse et belle de pâleur
- Je vais sur la pelouse humide de rosée
- Je voudrais être un homme
- L’abeille qui plongeait...
- L’ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
- L’amour nous fait trembler
- L’hiver a, cette nuit, une odeur de printemps
- La bouche aimée est savoureuse et chaude
- La chanson de la bien-aimée
- La chèvre dans l’enclos
- La maison dort
- La maison serait blanche et le jardin sonore
- La mémoire de l’homme est une pierre dure
- La nuit répand sur le village son ombre
- La pensée est la plus amère des maîtresses
- La pensée est une eau sans cesse jaillissante
- La voix du soir
- Lasse et les cils battants, heureuse
- Le ciel pâlit, la terre humide et reposée
- Le ciel profond reflète en étoiles nos larmes
- Le grain de blé qu’on va moudre
- Le jour blanc se levait à peine sur la mer
- Le lait des chats
- Le navrant sourire où monte un flot de larmes
- Le rosaire des cloches
- Le sable du ravin est rouge
- Le soir léger avec sa brume claire
- Le soleil de ce jour d’automne
- Le soleil disparu rayonne sur la mer
- Le temps n’a point pâli ta souveraine image
- Le tiède après-midi paisible de septembre
- Le vent est doux comme une main de femme
- Ma douce enfant, ma pauvre enfant
- Ma fenêtre était large ouverte sur la nuit
- Ma plume, cette nuit de doute...
- Maîtresse, tendre et noble amie
- Mélodie païenne
- Ne mêle pas l’esprit aux choses de la chair
- Nuit d’ombre, nuit tragique, ô nuit désespérée
- Ô jeunesse, fervent et clair foyer d’amour
- Ô mon ami, mon vieil ami, mon seul ami
- Ô poète inquiet du monde
- Ô tragiques instants du départ
- Ô veille de Toussaint et dernier soir d’octobre
- Octobre à son manteau d’azur fourré
- Parfois l’esprit se perd...
- Parfois, sur les confins du sommeil qui s’achève
- Plutôt qu’un médiocre honneur
- Pour couronner la blonde enfant aux yeux d’azur
- Puisque l’ennui, pauvre homme
- Qu’on ouvre la fenêtre au large
- Quand, au matin, je vois tes persiennes
- Que la nuit m’enveloppe et dorlote ma peine
- Quel est ce lied qui fait son nid dans mon silence
- Qui de vous n’a connu les soirs où l’on écoute
- Qui pleure à ma porte à la fin du jour ?
- Requiem d’automne
- Saison fidèle aux cœurs
- Soirs de stérilité qui font l’âme plus sèche
- Sois pure comme la rosée
- Souffrir infiniment, souffrir
- Souvent, le front posé sur tes genoux
- Stériles nuits d’hiver où ton âme trop pauvre
- Sur nos pas le profond enfer s’est refermé
- Taciturnes, le front baissé, nous tisonnons
- Ton cœur est fatigué des voyages
- Ton image en tous lieux peuple ma solitude
- Tu rangeais en chantant pour le repas du soir
- Tu sommeilles, je vois tes yeux sourire encore
- Un oiseau, fauvette ou grive
- Un soir au coucher du soleil
- Un soir, au temps du sombre équinoxe d’automne
- Une flûte au son pur
- Voici dans le couvent voisin
- Vous qui sur mon front, toute en larmes
- Vous, le charme et l’honneur de mon jardin natal
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Johann - Poetica Mundi