Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Émile Verhaeren. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Émile Verhaeren est un poète symboliste, écrivain et dramaturge belge des XIXe et XXe siècles. Né en 1855, il crée une poésie marquée par ses idées anarchistes, et chante la beauté des villes, créations humaines. Il meurt sous les roues d'un train, poussé accidentellement, en 1916.

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus
Les Plus Beaux Poèmes d'Emile Verhaeren
Tous les poèmes d'Émile Verhaeren classés par ordre alphabétique
- À l’arrière
- À l’Homme d’aujourd’hui
- À la Belgique
- À la gloire des cieux
- À la gloire du vent
- À Pâques
- À Ténèbres
- Allez-vous-en
- Âprement
- Ardeur des sens, ardeur des cœurs
- Asseyons-nous tous deux près du chemin
- Attirances
- Au Bord de l’eau
- Au bord du quai
- Au clos de notre amour
- Au loin
- Au Nord
- Au passant d’un soir
- Au peuple allemand
- Au Reichstag
- Au temps où longuement j’avais souffert
- Automne
- Autour de ma maison
- Aux moines
- Avec le même amour
- Avec mes sens
- Avec mes vieilles mains
- Belle Santé
- Bien que déjà, ce soir
- C’est la bonne heure où la lampe s’allume
- C’était en juin, dans le jardin
- Cantiques
- Celle du jardin
- Celui de l’horizon
- Celui de la fatigue
- Celui du rien
- Ceux de Liège
- Chanson de fou : Brisez-leur pattes et vertèbres
- Chanson de fou : Je les ai vus
- Chanson de fou : Le crapaud noir sur le sol blanc
- Chanson de fou : Vous aurez beau crier contre la terre
- Chaque heure, où je songe à ta bonté
- Combien elle est facilement ravie
- Comme à d’autres, l’heure et l’humeur
- Comme aux âges naïfs
- Comme tous les soirs
- Conseil absurde
- Croquis de cloître (I)
- Croquis de cloître (II)
- Croquis de cloître (III)
- Croquis de cloître (IV)
- Cuisson du pain
- Dans la maison où notre amour a voulu naître
- Décembre
- Dédié au sud-ouest
- Départ
- Des fleurs fines
- Des soirs
- Dialogue
- Dimanche matin
- Dis-moi, ma simple et ma tranquille amie
- En ce rugueux hiver
- En hiver
- Éperdument
- Épilogue
- Et maintenant que sont tombés les hauts feuillages
- Et qu’importent et les pourquoi et les raisons
- Et te donner ne suffit plus, tu te prodigues
- Fin d’année
- Fleur fatale
- Fut-il en nous une seule tendresse
- Hélas ! les temps sont loin
- Heure d’automne
- Heures d’hiver
- Heures mornes
- Hommage
- Humanité
- Il fait novembre en mon âme
- Illusion
- Inconscience
- Infiniment
- Insatiablement
- J’ai cru à tout jamais notre joie engourdie
- Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
- Je noie en tes deux yeux mon âme tout entière
- Je songe à ta bonté
- Je suis sorti des bosquets du sommeil
- Je t’apporte ma joie
- Je t’apporte, ce soir...
- Kato
- L’abreuvoir
- L’Accalmie
- L’action
- L’âge est venu
- L’amante
- L’âme de la ville
- L’ancienne gloire
- L’arbre
- L’Attente
- L’aube, l’ombre, le soir, l’espace et les étoiles
- L’Autre plaine
- L’Avenir
- L’effort
- L’en-avant
- L’enclos
- L’Escaut
- L’Est, l’Ouest, le Sud, le Nord
- L’étable
- L’Étal
- L’éternelle lueur
- L’Europe
- L’Éveil de Pâques
- L’hérésiarque
- L’heure et l’humeur
- L’Idole
- L’immobile beauté
- L’ombre est lustrale et l’aurore irisée
- L’orage
- L’orgueil
- La barque
- La bêche
- La bénédiction de la mer
- La Bourse
- La chance
- La clémence
- La Conquête
- La couronne
- La crypte
- La cuisine
- La Dame en Noir
- La ferme
- La Ferveur
- La Fille ardente
- La Folie
- La Foule
- La glycine est fanée et morte est l’aubépine
- La Grand’Place
- La grande chambre
- La joie
- La kermesse
- La louange du corps humain
- La Lys
- La Mort
- La morte
- La neige
- La nuit
- La Patrie aux soldats morts
- La petite vierge
- La Peur
- La Plaine
- La plaine (I)
- La plaine (II)
- La pluie
- La révolte
- La Saint-Jean
- La Tête
- La vachère
- La vie
- La vie ardente
- La vieille
- La vieille demoiselle
- La Ville
- Là-bas
- Lassitude
- Le Banquier
- Le bazar
- Le beau jardin fleuri de flammes
- Le chaland
- Le chant de l’eau
- Le ciel en nuit, s’est déplié
- Le clair jardin c’est la santé
- Le cri
- Le départ
- Le Donneur de Mauvais Conseils
- Le Forgeron
- Le Gel - Ce soir, un grand ciel clair
- Le gel - Sous le fuligineux étain d’un ciel d’hiver
- Le glaive
- Le Jardin
- Le lait
- Le Lierre
- Le masque
- Le ménétrier
- Le menuisier
- Le Meunier
- Le meurtre
- Le Monde
- Le Mont
- Le moulin
- Le navire
- Le Paradis
- Le passeur d’eau
- Le péché
- Le Port
- Le premier arbre de l’allée
- Le Printemps de 1915
- Le printemps jeune et bénévole
- Le ramasseur d’épaves
- Le Roc
- Le Roulier
- Le Sabotier
- Le silence
- Le soir tombe, la lune est d’or
- Le sonneur
- Le Spectacle
- Le vent
- Le voyage
- Légendes
- Les Amoureux
- Les Arbres
- Les Armes du soir
- Les baisers morts des défuntes années
- Les baptêmes
- Les barques d’or du bel été
- Les brumes
- Les cathédrales
- Les chaumes
- Les cierges
- Les complaintes
- Les Cordiers
- Les corneilles
- Les Deux enfants de roi
- Les Dieux
- Les espaliers
- Les Fièvres
- Les fleurs du clair accueil au long de la muraille
- Les Fumeurs
- Les granges
- Les greniers
- Les gueux
- Les Héros - Les Ancêtres
- Les Héros - Les Van Eyck
- Les horloges
- Les Hôtes
- Les Idées
- Les jardins
- Les Jeunes Filles
- Les jours de fraîche et tranquille santé
- Les Lois
- Les malades
- Les matines
- Les mendiants
- Les menus faits, les mille riens
- Les Meules
- Les meules qui brûlent
- Les moines
- Les morts
- Les nombres
- Les ombres
- Les Pas
- Les pauvres
- Les paysans
- Les Pêcheurs
- Les pêcheurs à cheval
- Les plages
- Les plaines
- Les promeneuses
- Les récoltes
- Les Rois
- Les Routes
- Les Rues
- Les Saints, les Morts, les Arbres et le Vent
- Les soirs d’été
- Les Souffrances
- Les Tours au Bord de la Mer
- Les Trains
- Les usines
- Les vents
- Les Vêpres - Là-bas
- Les vêpres - Moines, vos chants du soir roulent parmi leurs râles
- Les vergers de mai
- Les vieux chênes
- Les Vieux Maîtres
- Les villes
- Les voyageurs
- Les Zeppelins sur Paris
- Liminaire
- Londres
- Lorsque s’épand sur notre seuil la neige fine
- Lorsque ta main confie, un soir
- Lorsque tu fermeras mes yeux à la lumière
- Ma chambre
- Ma gerbe
- Ma race
- Ma tranquille amie
- Mes doigts
- Mes yeux
- Mets ta chaise près de la mienne
- Michel-Ange
- Minuit blanc
- Moine doux
- Moine épique
- Moine sauvage
- Moine simple
- Mon âme elle est là-bas
- Mon Ami, Le Paysage
- Mon village
- Mourir
- Notre-Dame de Bonne Odeur
- Novembre
- Ô la splendeur de notre joie
- Ô le calme jardin d’été où rien ne bouge
- Oh ! ce bonheur
- Oh ! laisse frapper à la porte
- Oh ! tes si douces mains...
- Où notre amour a voulu naître
- Parabole
- Pauvres vieilles cités
- Pèlerinage
- Peut-être
- Pieusement
- Plus loin que les gares, le soir
- Pour nous aimer des yeux
- Pour que rien de nous deux n’échappe à notre étreinte
- Premiers aéroplanes
- Prière
- Problèmes
- Quand le ciel étoilé couvre notre demeure
- Que nous sommes encor heureux et fiers de vivre
- Que tes yeux clairs, tes yeux d’été
- Quoique nous le voyions fleurir
- Rentrée des moines
- Ressouvenir
- Roses de juin, vous les plus belles
- S’amoindrir
- S’il était vrai
- Si d’autres fleurs décorent la maison
- Si morne !
- Si nos cœurs ont brûlé
- Silencieusement
- Sitôt que nos bouches se touchent
- Soir d’automne
- Soir religieux (I)
- Soir religieux (II)
- Soir religieux (III)
- Soir religieux (IV)
- Soir religieux (V)
- Soir religieux (VI)
- Sois-nous propice et consolante encor
- Soldats morts à la guerre
- Sonnet
- Sous les porches
- Sur la côte
- Sur la mer
- Sur les grèves
- Sur les môles du port
- Tourment
- Tout ce qui vit autour de nous
- Très doucement, plus doucement encore
- Tu arbores parfois cette grâce bénigne
- Un deuil
- Un lambeau de patrie
- Un Matin - C’était, dans la campagne émerveillée
- Un matin - Dès le matin
- Un soir : Avec les doigts de ma torture
- Un soir : Et des bouches d’argent et des regards de pierre
- Un soir : Sous ce funèbre ciel de pierre
- Un soir : Sur des marais de gangrène et de fiel
- Un toit, là-bas
- Un village
- Une heure de soir
- Une statue Prenant pour guide clair l'astre qu'était son âme
- Une statue : Au carrefour des abattoirs (soldat)
- Une statue : Avec, devant les yeux (apôtre)
- Une statue : On le croyait fondateur de la ville
- Une statue : Un bloc de bronze (bourgeois)
- Une statue : Un bloc de marbre
- Vénus
- Vers l’enfance
- Vers la mer
- Vers le cloître
- Vers le futur
- Vers les fleurs
- Vieille ferme à la Toussaint
- Viens jusqu’à notre seuil répandre
- Viens lentement t’asseoir
- Vivons, dans notre amour et notre ardeur
- Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord
- Vous m’avez dit, tel soir
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