Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Georges Rodenbach. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Georges Rodenbach est un poète et romancier belge du XIXe siècle appartenant au mouvement du Symbolisme. Né en 1855 et mort en 1898, il s'installe en 1888 à Paris et y fréquente la société littéraire, notamment les mardis symbolistes de Mallarmé. Il est une grande influence de ce mouvement.

Tous les poèmes de Georges Rodenbach classés par ordre alphabétique
- Ah ! Vous êtes mes sœurs, les âmes qui vivez
- Amours inquiètes
- Analyse
- Aquarium mental
- Art pur
- Au fil de l’âme
- Aux mères qui battent leurs enfants
- Aux vêpres
- Béguinage flamand
- Brouillard
- Carillon
- Cellules et salons
- Chanteuse d’oubli
- Charmes du passé
- Choses fatales
- Cloches
- Collège ancien
- Communiantes
- Dans l’air fraîchi, venant d’où
- Dans l’angle obscur de la chambre, le piano
- Dans l’étang d’un grand cœur...
- Dans le silence et dans le soir de la maison
- Dans les banlieues
- Dans quelque ville morte, au bord de l’eau
- Défaillance
- Dégoût
- Départ
- Des cloches, j’en ai su qui cheminaient sans bruit
- Dimanche : un pâle ennui d’âme, un désœuvrement
- Dimanches
- Douceur du soir !
- Douceur du souvenir
- Douleur de se reprendre
- Du silence
- En des quartiers déserts de couvents et d’hospices
- En province
- Ennui de vivre
- Épilogue - C’est l’automne
- Épilogue - Ici toute une vie invisible est enclose
- Épilogue - Seigneur ! en un jour grave
- Épithalame
- Fin du rêve
- Il flotte une musique éteinte
- Infamie éternelle
- L’Absence
- L’Âme des bons
- L’Âme sous-marine
- L’Antiquaire
- L’aquarium est si bleuâtre, si lunaire
- L’aquarium, toujours frissonnant, est étrange
- L’eau des anciens canaux est débile et mentale
- L’Eau qui parle (les jours mauvais)
- L’Eau qui parle (Premier Amour)
- L’Eau qui parle (Soirs du porvince)
- L’Horloge
- L’hostie est comme un clair de lune dans l’église
- L’Idéal
- L’Infini
- L’obscurité, dans les chambres, le soir
- L’Oubli
- La lampe dans la chambre
- La Loïe Fuller
- La Maison paternelle
- La Mort de la jeunesse
- La Naissance du Poète
- La Nuit vient
- La Passante
- La Passion
- La Pluie
- La Prière
- La Soif
- La Tentation des nuages
- La Veillée du dernier jour de l’an
- La Vie des chambres
- La Ville du Passé
- La ville est morte, morte, irréparablement
- Lacrymæ rerum
- Le Berceau
- Le Cœur de l’eau
- Le Coffret
- Le miroir est l’amour, l’âme-sœur de la chambre
- Le Soir dans les vitres
- Le Voyage dans les yeux
- Légende
- Les Absentes
- Les canaux somnolents entre les quais de pierre
- Les chambres, dans le soir
- Les Cloches
- Les Cygnes
- Les cygnes blancs
- Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Les Enfants
- Les Femmes en mante
- Les Femmes tristes
- Les glaces sont les mélancoliques gardiennes
- Les Hosties
- Les Jardins
- Les Jets d’eau
- Les Lampes
- Les Lignes de la main
- Les Lions
- Les Malades aux fenêtres
- Les miroirs, par les jours abrégés des décembres
- Les Orgues
- Les pièces d’eau, songeant dans les parcs taciturnes
- Les Premières Communiantes
- Les Réverbères
- Les Solitaires
- Litanies
- Litanies d’amour
- Lune consolante
- Matins joyeux
- Mon âme, tout ce long et triste après-midi
- Muet!
- Mysticisme
- Nénuphar
- Nocturne
- Nostalgie de jeunesse blanche
- Ô neige, toi la douce endormeuse des bruits
- Ô ville, toi ma sœur à qui je suis pareil
- On aura beau s’abstraire en de calmes maisons
- Paysages de ville
- Péché
- Petit-Pierre
- Pour la gloire de Mallarmé
- Pour le tombeau de Verlaine
- Premier amour
- Premières Communiantes
- Premiers beaux vers
- Prière
- Processions
- Prologue
- Promenade
- Quand le soir est tombé dans la chambre quiète
- Quand on rentre chez soi, délivré de la rue
- Récompense
- Refrain triste
- Refuge dans l’art
- Rencontre
- Rendez-vous tristes
- Renoncement
- Roses d’antan
- Ses yeux
- Seul
- Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Si tristes les vieux quais bordés d’acacias
- Soir
- Solitude
- Songeur, dans de beaux rêves t’absorbant
- Tel soir fané, telle heure éphémère suscite
- Toute une vie en nous, non visible, circule
- Tristesses de l’amour
- Un duo
- Veillée de gloire
- Vers d’amour
- Vieux quais
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Blogueur, artisan du cuir et amateur de poésie, je suis heureux de pouvoir partager notre belle poésie française avec mes lecteurs. Qu'elle fasse partie de votre quotidien comme elle fait partie du miens et vous apporte de la détente et de la joie.