Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Jacques Prevel. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Jacques Prevel est un poète français du XXe siècle. Né en 1915 et mort en 1951, il se consacre entièrement à l'écriture, publie lui-même ses poèmes faute d'éditeur et vit une vie pauvre et solitaire jusqu'à rencontrer Antonin Artaud avec qui il se lie d'une solide amitié.
Tous les poèmes de Jacques Prevel classés par ordre alphabétique
- À Antonin Artaud
- À Fikret Moualla Saygi
- À Germaine Chéron
- À Harouth Costtandian
- À Henri Thomas
- À Louis Branquier
- À Marthe et Robert
- À Roger Bésus
- À Val Constantine
- Au bord de l’automne
- Au début d’un printemps mort
- Au moment d’écrire
- Aujourd’hui
- Avec l’esprit
- Avec mon sang perdu
- Capitales
- Ce qui retentira
- Ce qui se déchire et prolifère en moi
- Ces joies qui sont comme des douleurs
- Cette violence de la mémoire
- Chaque matin
- Claude
- Combien de douleurs dans ma vie
- Comme cette pierre
- Comme le vent fantastique
- Comme tout est triste ici
- Comme un esprit des hauteurs
- Comme un loup
- Comme Verlaine sans raison
- D’étranges rumeurs
- Dans le matin diminué
- Dans le temps dans la nuit
- Dans un rictus ce matin crevé
- Dans une ville où rien n’existe
- Délire sans nom
- Des ailes de pierre
- Dévoré par le feu
- Du temps la fin m’échappe
- En dérive vers l’absolu
- Enfant je me suis étonné
- Et ce vertige qui me prend
- Froide lumière
- Généalogie philosophale
- Hautaine douleur
- Huma Toca Lora Sora
- Ici il y a l’indéterminé
- Il faudra donc laisser s’éteindre toute cette chaleur
- Il faudrait écrire comme on vit
- Il faut que se précise en moi
- Il n’existe que ce monde
- Il n’y a pas de délivrance dans ma vision
- Il y a toujours quelqu’un placé près de l’échiquier
- Ils sont trop…
- J’ai dormi dans le crépuscule
- J’ai été lâche
- J’ai planté mon pavillon sur le sommet de la folle misère
- J’ai tout jeté dans l’extase et dans la terreur
- J’ai traversé les tempêtes
- J’ai vécu l’extrême réalité d’une maladie
- J’ai vu Paris dans la lumière
- J’écris
- Je me dresse sur le pont diabolique du réel
- Je me refuse à croire
- Je me retrouve dans la maison des Arts
- Je me retrouve sans forme humaine
- Je me souviendrai de ta fragile révolte
- Je me souviendrai de toi
- Je n’ai jamais travaillé dans le temps
- Je n’ai rien à perdre ni à gagner
- Je ne pense rien je ne comprends rien
- Je ne suis pas sûr
- Je reprends le visage
- Je ris
- Je sens une vie foudroyante en moi
- Je suis avec toi sur la terre des morts
- Je suis déjà dans la marche des morts
- Je suis perdu dans les abîmes de l’être
- Je suis un homme à même un monde que je rejette
- Je suis venu pour ne pas te laisser mourir
- Je vois le monde à travers un abîme
- Je vous apercevrai
- Je vous écoutais et je vous suivais Antonin Artaud
- Jours plus durs à vivre
- L’automne abandonné
- L’écoulement de tant de vie signifié
- La maison tremble
- La mer ma seule inspiratrice
- La pluie a la voix de la mélancolie
- La réalité des pierres
- La solitude la mort la dernière révolte
- Labyrinthe obsédant
- Le brasero
- Le chant du grillon
- Le feu me dévore
- Le Havre morte-ville
- Le monde est mort où je vivais
- Le terrain vague
- Les beaux jours qui mènent à tout
- Les chemins n’ont pas de Rencontres
- Les Dieux avaient marqué pour moi ces jours
- Les êtres ne sont pas à la mesure du temps
- Les grands scarabées joueurs d’échec
- Les routes inséparables
- Ma vie se confond avec le bruit que fait ta vie
- Mécanique de l’absolu
- Même avec les dents serrées
- Minuit est déjà passé
- Moi qui ne suis pas du monde
- Monde ennemi construit avec des pierres
- Monde invisible
- Mur qui se propage en moi
- N’est-ce pas mon destin…
- Non je ne veux plus faire résonner les mots comme autrefois
- Nous avons immergé ces blocs comme des icebergs
- Nuit du 24 juillet
- Pleine chair d’une vie déréglée et navrante
- Poignardé par le choc
- Pour Ern
- Pour Rolande
- Qu’il s’enflamme
- Quand je suis présent
- Que chaque parole me soit comme un bruit de ressac
- Refus de s’étendre et de dormir
- Ressuscité d’entre les morts
- Révulsif
- Se retrouver tout comme aujourd’hui dans dix ans
- Seul et désespéré
- Si l’on me cherche
- Testament
- Tout entière au néant
- Tout est calciné
- Trois poèmes en prose
- Tu es comme un nuage
- Tu me reviens mémoire
- Tu ne veux pas choisir les routes ni l’amour
- Tu vis de négations
- Un bruit de houle qui m’enlève
- Un merveilleux voyage
- Un monde sans issue est né d’un étrange paroxysme
- Un printemps magique naîtra
- Vent de glace
- Ville creusée au burin des larmes
- Ville tu es toujours la même
- Vos deux présences
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Johann - Poetica Mundi