Jean de Sponde : Liste des Poèmes

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Jean de Sponde est un poète et traducteur français du XVIe siècle appartenant au mouvement baroque. Né en 1557 et mort en 1595, il voyage en Europe et rencontre de nombreux humanistes, puis écrit des poèmes exploitant tour à tour les thèmes de la religion et de l'amour.

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus

Les Plus Beaux Poèmes de Jean de Sponde

Tous les poèmes de Jean de Sponde classés par ordre alphabétique

• Ce tresor que j'ay pris avecques tant de peine
• En vain mille beautez à mes yeux se presentent
• Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge
• Ha ! que j'en voy bien peu songer à ceste mort
• Helas ! contez vos jours : les jours qui sont passez
• Il est vrai, mon amour était sujet au change
• Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
• Je contemplois un jour le dormant de ce fleuve
• Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre
• Je sens dedans mon âme une guerre civile
• Les Toscans batailloyent donnant droit dedans Rome
• Les vents grondaient en l'air, les plus sombres nuages
• Ma belle languissait dans sa funeste couche
• Mais si faut-il mourir ! et la vie orgueilleuse
• Mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule)
• Mon cœur ne te rends point à ces ennuis d'absence
• Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive
• Mon Soleil qui brillez de vos yeux dans mes yeux
• Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie
• Ne vous estonnez point si mon esprit qui passe
• Ne vous étonnez point si mon esprit qui passe
• Pour qui tant de travaux ? pour vous ? de qui l'aleine
• Quand je voy les efforts de ce Grand Alexandre
• Quand le vaillant Hector, le grand rempart de Troie
• Qui serait dans les Cieux, et baisserait sa vue
• Qui seroit dans les Cieux, et baisseroit veuë
• Qui sont, qui sont ceux-là, dont le cœur idolâtre
• Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée
• Si j'avais comme vous, mignardes colombelles
• Si j'avois comme vous mignardes colombelles
• Si tant de maux passez ne m'ont acquis ce bien
• Stances de la mort
• Sur sa fièvre
• Tandis que dedans l'air un autre air je respire
• Tout le monde se plaint de la cruelle envie
• Tout s'enfle contre moy, tout m'assaut, tout me tente
• Voulez-vous voir ce traict qui si roide s'eslance
• Vous languissez, mes vers...

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