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Joachim du Bellay est un poète français du XVIe siècle membre du groupe de la Pléiade. Né en 1522 et mort en 1560, il partage avec ses camarades de la Pléiade la volonté de faire du français une langue des arts à l'image du Latin et de l'Italien. Son recueil le plus connu est "Les Regrets".

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus
Tous les poèmes de Joachim du Bellay classés par ordre alphabétique
- À l’ambitieux et avare ennemi des bonnes lettres
- À Madame Marguerite, d’écrire en sa langue
- À monsieur d’Avanson
- À Salm. Macrin
- À son livre
- À Vénus
- Après avoir longtemps erré sur le rivage
- Astres cruels, et vous dieux inhumains
- Au fleuve de Loire
- Au Roi
- Autant comme l’on peut en un autre langage
- Avoir vu dévaler une triple montagne
- Ayant tant de malheurs gémi profondément
- Baif, qui, comme moi, prouves l’adversité
- Baiser
- Bien qu’aux arts d’Apollon le vulgaire n’aspire
- Brusquet à son retour vous racontera, Sire
- C’est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c’est ore
- C’était alors que le présent des dieux
- C’était ores, c’était qu’à moi je devais vivre
- Ce brave qui se croit pour un jaque de maille
- Ce n’est l’ambition, ni le soin d’acquérir
- Ce n’est le fleuve tusque au superbe rivage
- Ce n’est pas de mon gré, Carle, que mon navire
- Ce n’est pas sans propos qu’en vous le ciel a mis
- Ce rusé Calabrais tout vice, quel qu’il soit
- Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye
- Celle qui de son chef les étoiles passait
- Celui vraiment était et sage et bien appris
- Cent fois plus qu’à louer on se plaît à médire
- Cependant qu’au palais de procès tu devises
- Cependant que la Cour mes ouvrages lisait
- Cependant que Magny
- Cependant que tu dis ta Cassandre divine
- Cependant que tu suis le lièvre par la plaine
- Ces cheveux d’or sont les liens Madame
- Ces cheveux d’or, ce front de marbre
- Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
- Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront
- Chant du désespéré
- Combien que ton Magny ait la plume si bonne
- Comme jadis l’âme de l’univers
- Comme l’on voit de loin sur la mer courroucée
- Comme le champ semé
- Comme le marinier, que le cruel orage
- Comme on passe en été le torrent sans danger
- Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
- Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
- Cousin, parle toujours des vices en commun
- D’où vient cela, Mauny, que tant plus on s’efforce
- D’où vient que nous voyons à Rome si souvent
- D’un vanneur de blé aux vents
- Dans l’enfer de son corps mon esprit attaché
- De ce qu’on ne voit plus qu’une vague campagne
- De ce royal palais que bâtiront mes doigts
- De grand’ beauté ma Déesse est si pleine
- De quelque autre sujet que j’écrive, Jodelle
- De voir mignon du roi un courtisan honnête
- De votre Dianet (de votre nom j’appelle
- Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos
- Déjà la nuit en son parc amassait
- Depuis que j’ai laissé mon naturel séjour
- Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
- Dessus un mont une flamme allumée
- Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois
- Divins esprits, dont la poudreuse cendre
- Douce mère d’amour, gaillarde Cyprienne
- Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles
- En mille crespillons les cheveux se friser
- Encore que l’on eût heureusement compris
- Épitaphe d’un chat
- Espérez-vous que la postérité
- Esprit royal, qui prends de lumière éternelle
- Et je pensais aussi ce que pensait Ulysse
- Et puis je vis l’arbre dodonien
- Fasse le ciel (quand il voudra) revivre
- Finalement sur le point que Morphée
- Flatter un créditeur, pour son terme allonger
- France, mère des arts, des armes et des lois
- Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre
- Gordes, il m’est avis que je suis éveillé
- Gordes, j’ai en horreur un vieillard vicieux
- Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux
- Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
- Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
- Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie
- Ici de mille fards la trahison se déguise
- Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré
- J’aime la liberté, et languis en service
- Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
- Je hais du Florentin l’usurière avarice
- Je hais plus que la mort un jeune casanier
- Je me ferai savant en la philosophie
- Je n’ai jamais pensé que cette voûte ronde
- Je n’écris point d’amour, n’étant point amoureux
- Je n’escris point d’amour, n’estant point amoureux
- Je ne commis jamais fraude ni maléfice
- Je ne découvre ici les mystères sacrés
- Je ne suis pas de ceux qui robent la louange
- Je ne te conterai de Bologne et Venise
- Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs
- Je ne veux point fouiller au sein de la nature
- Je vis haut élevé sur colonnes d’ivoire
- Je vis l’oiseau qui le soleil contemple
- Je vis sourdre d’un roc une vive fontaine
- Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
- Je vois, Dilliers, je vois seréner la tempête
- L’olive
- La Complaînte du désespéré
- La grecque poésie orgueilleuse se vante
- La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
- La nef qui longuement a voyagé, Dillier
- La nuit m’est courte, et le jour trop me dure
- La terre y est fertile, amples les édifices
- Las où est maintenant ce mépris de Fortune
- Las où est maintenant ce mespris de Fortune
- Le Babylonien ses hauts murs vantera
- Le Breton est savant et sait fort bien écrire
- Le grand flambeau gouverneur de l’année
- Le roi (disent ici ces bannis de Florence)
- Les Boys fueilluz, et les herbeuses Ryves
- Loyre fameux, qui ta petite Source
- Magny, je ne puis voir un prodigue d’honneur
- Maintenant je pardonne à la douce fureur
- Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure et le point
- Maraud, qui n’es maraud que de nom seulement
- Marcher d’un grave pas, et d’un grave sourcil
- Mars, vergogneux d’avoir donné tant d’heur
- Maudit soit mille fois le Borgne de Libye
- Mauny, prenons en gré la mauvaise fortune
- Me soit amour ou rude, ou favorable
- Montigné (car tu es aux procès usité)
- Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire
- Muse, qui autrefois chantas la verte Olive
- N’étant de mes ennuis la fortune assouvie
- N’étant, comme je suis, encore exercité
- Nature est aux bâtards volontiers favorable
- Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux
- Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines
- Ne pense, Robertet, que cette Rome-ci
- Ne t’ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme
- Ne t’émerveille point que chacun il méprise
- Ni la fureur de la flamme enragée
- Ni par les bois les Dryades courantes
- Non autrement qu’on voit la pluvieuse nue
- Non pour ce qu’un grand roi ait été votre père
- Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire
- Nous ne sommes fâchés que la trêve se fasse
- Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
- Ny par les bois les Driades courantes
- Ô beaux cheveux d’argent mignonnement retors
- Ô combien est heureux qui n’est contraint de feindre
- Ô Déesse qui peut aux princes égaler
- Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien
- Ô qu’heureux est celui qui peut passer son âge
- Ô que celui était cautement sage
- Ô que tu es heureux, si tu connais ton heure
- Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
- On donne les degrés au savant écolier
- On ne fait de tout bois l’image de Mercure
- Ores, plus que jamais, me plaît d’aimer la Muse
- Où que je tourne l’œil, soit vers le Capitole
- Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
- Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps
- Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
- Plus qu’aux bords Aetëans le brave fils d’Eson
- Plus riche assez que ne se montrait celle
- Pourquoi me grondes-tu, vieux matin affamé
- Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné
- Puis m’apparut une pointe aiguisée
- Qu’heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu’heureux
- Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin
- Quand cette belle fleur premièrement je vis
- Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici
- Quand je vais par la rue, où tant de peuple abonde
- Quand je vois ces messieurs, desquels l’autorité
- Quand je vois ces seigneurs qui l’épée et la lance
- Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
- Quand la fureur, qui bat les grands coupeaux
- Quand le Soleil lave sa tête blonde
- Quand mon Caraciol de leur prison desserre
- Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine
- Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l’entends
- Que n’ai-je encor la harpe thracienne
- Quel est celui qui veut faire croire de soi
- Qui a nombré, quand l’astre, qui plus luit
- Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
- Qui choisira pour moi la racine d’Ulysse
- Qui est ami du cœur est ami de la bourse
- Qui niera, Gillebert, s’il ne veut résister
- Qui voudra voir tout ce qu’ont pu nature
- Qui voudrait figurer la romaine grandeur
- Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour
- Ronsard, j’ai vu l’orgueil des colosses antiques
- Sacrés coteaux, et vous saintes ruines
- Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise
- Se fâcher tout le jour d’une fâcheuse chasse
- Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil
- Seigneur, ne pensez pas d’ouïr chanter ici
- Si après quarante ans de fidèle service
- Si celui qui s’apprête à faire un long voyage
- Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses
- Si je monte au Palais, je n’y trouve qu’orgueil
- Si l’aveugle fureur, qui cause les batailles
- Si l’importunité d’un créditeur me fâche
- Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
- Si la vertu, qui est de nature immortelle
- Si les larmes servaient de remède au malheur
- Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
- Si nostre vie est moins qu’une journée
- Si onques de pitié ton âme fut atteinte
- Si par peine et sueur et par fidélité
- Si Pirithois ne fût aux enfers descendu
- Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse
- Si tu m’en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
- Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici
- Si tu veux sûrement en cour te maintenir
- Sire, celui qui est a formé toute essence
- Sortons, Dilliers, sortons, faisons place à l’envie
- Sur la croupe d’un mont je vis une fabrique
- Sur la rive d’un fleuve une nymphe éplorée
- Sur un chapelet de roses du Bembe
- Tant que l’oiseau de Jupiter vola
- Telle que dans son char la Bérécynthienne
- Tels que l’on vit jadis les enfants de la Terre
- Toi qui de Rome émerveillé contemples
- Tout ce qu’Égypte en pointe façonna
- Tout effrayé de ce monstre nocturne
- Tout le parfait dont le ciel nous honore
- Tu dis que Du Bellay tient réputation
- Tu ne crains la fureur de ma plume animée
- Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
- Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve !
- Tu t’abuses, Belleau, si pour être savant
- Un peu de mer tenait le grand Dulichien
- Un plus savant que moi, Paschal, ira songer
- Une louve je vis sous l’antre d’un rocher
- Ursin, quand j’oy nommer de ces vieux noms romains
- Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c’est Rome
- Villanelle
- Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
- Voici le carnaval, menons chacun la sienne
- Voyant l’ambition, l’envie, et l’avarice
- Vu le soin ménager dont travaillé je suis
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