Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Paul Verlaine. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Paul Verlaine est un écrivain, poète et critique français du XIXe siècle. Né en 1844 et mort en 1896, il est surtout connu pour son premier premier recueil "Poèmes saturniens" et pour sa liaison avec Arthur Rimbaud qui s'achève par une violente dispute pendant laquelle il tire sur son amant.

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus
Recueils
- Poèmes Saturniens (1866)
- Fêtes Galantes (1869)
- La Bonne Chanson (1870)
- Romances sans Paroles (1874)
- Sagesse (1880)
- Jadis et Naguère (1884)
- Amour (1888)
- Parallèlement (1889-1894)
- Dédicaces (1890-1894)
- Bonheur (1891)
- Chansons pour Elle (1891)
- Liturgies Intimes (1892)
- Élégies (1893)
- Odes en son honneur (1893)
Tous les poèmes de Paul Verlaine classés par ordre alphabétique
- À …
- À … (Mauvaise, criarde, et ça vaut mieux)
- À A. Duvigneaux
- À Adrien Remacle
- À Albert Mérat
- À Aman Jean, sur un portrait enfin reposé de moi
- À Armand Silvestre
- À Armand Sinval
- À Arthur Rimbaud
- À Aurélien Scholl
- À Bibi-Purée
- À celle qu’on dit froide
- À César C…
- À Charles Baudelaire
- À Charles de Sivry
- À Charles de Sivry (Artiste, toi, jusqu’au fantastique)
- À Charles Morice
- À Charles Vesseron
- À Clymène
- À Don Quichotte
- À E…
- À E… en lui offrant Mes Prisons
- À E… I
- À E… pour ses étrennes
- À Edmond Lepelletier
- À Edmond Picard
- À Edmond Thomas
- À Émile Blémont
- À Émile Le Brun
- À Emmanuel Chabrier
- À Ernest Delahaye
- À Ernest Raynaud
- A.-F. Cazals
- À Fernand Langlois
- À Francis Poictevin
- À François Coppée
- À G…
- À Gabriel Échaupre
- À Gabriel Vicaire
- À George Bonnamour
- À George Verlaine
- À Germain Nouveau
- À Gustave Lerouge
- À Henri Bossanne
- À Henri Mercier
- À Horatio
- À Irénée Decroix
- À J.-K. Huysmans
- À Jean Moréas
- À Jules Tellier
- À l’aimée
- À la louange de Laure et de Pétrarque
- À la manière de Paul Verlaine
- À la princesse Roukhine
- À la promenade
- À Léon Cladel
- À Léon Dierx
- À Léon Valade
- À Léon Vanier
- À Léopold II, roi des Belges
- À Louis II de Bavière
- À Louis et Jean Jullien
- À M. le docteur Chauffart
- À Madame ...
- À madame X…
- À Mademoiselle ...
- À Maurice du Plessys
- À Max Rosa
- À mes amis de là-bas
- À Mlle A. Rom…
- À Mlle Adèle
- À Mlle Eveline
- À Mlle Jeanne Vanier
- À Mlle Léonie R…
- À Mlle Renée Zilcken
- À Mme J…
- À Mme Marie A…, pour sa fête
- À Mme Marie P.
- À mon éditeur
- À Paterne Berrichon
- A poor young shepherd
- À propos d’un « centenaire » de Calderon
- À Raoul Ponchon
- À Raymond Maygrier
- À Rodolphe Darzens
- À Rodolphe Salis
- À Stéphane Mallarmé
- À un magistrat de boue
- À un passant
- À une femme
- À Victor Hugo
- À Villiers de l’Isle-Adam
- Adieu
- Agnus Dei
- Allégorie
- Amoureuse du diable
- Angélus de midi
- Anniversaire, à William Rothenstein
- Après la chose faite, après le coup porté
- Après le départ des cloches
- Après trois ans
- Ariettes Oubliées
- Art poétique
- Ascension
- Asperges me
- Aspiration
- Assonances galantes
- Au bal
- Au compagnon Lartigues
- Au comte Robert de Montesquiou-Fezensac
- Au docteur Guilland
- Au Gérant du Muller
- Au même (Jules Tellier)
- Au vicomte de Lautrec
- Auburn
- Autant certes la femme gagne
- Autre (Impression fausse)
- Autre explication
- Avant que tu ne t’en ailles
- Avent
- Bah ! ce n’est pas à vous
- Balanide I
- Ballade à propos de deux ormeaux qu’il avait
- Ballade de la mauvaise réputation
- Ballade de la vie en rouge
- Ballade en faveur des dénommés décadents symbolistes
- Ballade en l’honneur de Louise Michel
- Ballade en rêve
- Ballade en vue d’honorer les Parnassiens
- Ballade pour s’inciter à l’insouci
- Ballade Sappho
- Ballade touchant un point d’histoire
- Batignolles
- Beams
- Beauté des femmes
- Bibliomanie
- Bibliophilie
- Bibliophobes
- Bibliotaphe
- Bibliothèques
- Bien qu’elle soit ta meilleure amie
- Billet à Lily
- Birds in the night
- Bon chevalier masqué
- Bon pauvre, ton vêtement est léger
- Bournemouth
- C’est l’extase langoureuse
- C’est la fête du blé, c’est la fête du pain
- C’est le chien de Jean de Nivelle
- Caprice
- Casta Piana
- Cauchemar
- Çavitrî
- Ce que j’ai dit, je ne le reprends pas
- Ces passions qu’eux seuls nomment encore amours
- Ces vers durent être faits
- César Borgia
- Chanson d’automne
- Chanson pour elles
- Chanson pour L…
- Charleroi
- Chemise de femme, armure ad hoc
- Child wife
- Circoncision
- Circonspection
- Clair de lune
- Clochi-clocha
- Colloque sentimental
- Colombine
- Compagne savoureuse et bonne
- Complies en ville
- Conseil falot
- Cortège
- Credo
- Crépitus
- Crépuscule du soir mystique
- Crimen amoris
- Croquis parisien
- Cuisses grosses mais fuselées
- Cythère
- Dans ce café bondé d’imbéciles
- Dans l’interminable ennui de la plaine
- Dans la grotte
- Dans les bois
- De plus, cette ignorance de Vous !
- Dédicace
- Dédicace manuscrite de la bonne chanson
- Délicatesse
- Dernier espoir
- Des morts
- Désappointement
- Désormais le Sage, puni
- Dévotions
- Dixain mil-huit-cent-trente
- Dizain ingénu
- Don Juan pipé
- Donc, ce sera par un clair jour d’été
- Drapeau vrai
- Du fond du grabat
- Écoutez la chanson bien douce
- Écrit en 1875
- Écrit sur l’album de Mme N. de V.
- Édition originale contemporaine
- Effet de nuit
- En bateau
- En dépit des sots et des méchants
- En patinant
- En robe grise et verte avec des ruches
- En septembre
- En sourdine
- Encore pour G…
- Épilogue
- Es-tu brune ou blonde ?
- Et dernière
- Et j’ai revu l’enfant unique : il m’a semblé
- Et maintenant aux Fesses !
- Été
- Explication
- Fadaises
- Fantoches
- Femme et chatte
- Fernand L’Anglois
- Fifi s’est réveillé
- Filles
- Final
- Fog !
- Fountain Court, à Arthur Symons
- Fragment d’un drame intitulé Charles le fou
- Fragment d’une imitation des Petites Vieilles de Baudelaire.
- Gabriel de Yturry
- Gais et contents
- Gamineries
- Gloria in excelsis
- Goûts royaux
- Green
- Grotesques
- Guerrière, militaire et virile en tout point
- Guitare
- Henry d’Argis
- Hier, on parlait de choses et d’autres
- Hommage dû
- Idylle high-life
- Il bacio
- Il est mauvais coucheur et ce m’est une joie
- Il faut nous pardonner les choses
- Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses
- Il ne me faut plus qu’un air de flûte
- Il parle encore
- Il pleure dans mon cœur
- Ils me disent que tu me trompes
- Images d’un sou
- Imité de Catulle
- Imité de Cicéron
- Immaculée conception
- Immédiatement après le salut somptueux
- Impression de printemps
- Impression fausse
- In initio
- Initium
- Intérieur
- Invraisemblable mais vrai
- J’ai dit à l’esprit vain, à l’ostentation
- J’ai presque peur, en vérité
- J’ai rêvé de toi cette nuit
- J’allais par des chemins perfides
- J’avais peiné comme Sisyphe
- Je devine, à travers un murmure
- Je fus mystique et je ne le suis plus
- Je n’ai pas de chance en femme
- Je ne sais pourquoi
- Je ne suis pas jaloux
- Je ne suis plus de ces esprits philosophiques
- Je ne t’aime pas en toilette
- Je ne veux plus aimer que ma mère Marie
- Je suis plus pauvre que jamais
- Je suis venu, calme orphelin
- Je veux, pour te tuer, ô temps qui me dévastes
- Je voudrais, si ma vie était encore à faire
- Je vous ai promis mon baiser
- Jean Richepin
- Jésuitisme
- Juin
- Jusques aux pervers nonchaloirs
- Kaléidoscope
- Kyrie eleïson
- L’adultère, celui du moins codifié
- L’allée
- L’âme antique était rude et vaine
- L’amitié entre homme et femme est divine
- L’amour de la Patrie
- L’amour est infatigable
- L’amour par terre
- L’angélus du matin
- L’angoisse
- L’Apollon de Pont-Audemer
- L’Arrivée du catalogue
- L’aube à l’envers
- L’auberge
- L’autel bas s’orne de hautes mauves
- L’écartement des bras
- L’échelonnement des haies
- L’ennemi se déguise en l’Ennui
- L’ennui de vivre avec le monde
- L’enterrement
- L’espoir luit comme un brin de paille
- L’été ne fut pas adorable
- L’heure du berger
- L’heure exquise
- L’hiver a cessé : la lumière est tiède
- L’homme pauvre du cœur est-il si rare
- L’horrible nuit d’insomnie
- L’immensité de l’humanité
- L’impénitence finale
- L’impénitent
- L’impudent
- L’incroyable, l’unique horreur de pardonner
- L’indulgence qui n’est pas de l’indifférence
- L’ombre des arbres dans la rivière embrumée
- La Belle au Bois dormait
- La bise se rue à travers
- La Bonne Crainte
- La cathédrale est majestueuse
- La Chanson des ingénues
- La Classe
- La Dernière Fête galante
- La dure épreuve va finir
- La grâce
- La grande ville
- La lune blanche
- La mer est plus belle
- La Mort
- La mort de Philippe II
- La neige à travers la brume
- La princesse Bérénice
- La pucelle
- La Sainte ta patronne
- La saison qui s’avance
- La soupe du soir
- La tristesse, langueur du corps humain
- La vie est bien sévère
- La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles
- Læti et Errabundi
- Laisse dire la calomnie
- Lamento
- Langueur
- Lassitude
- Laurent Tailhade
- Le « sort » fantasque qui me gâte à sa manière
- Le bruit des cabarets, la fange du trottoir
- Le chien de Jean de Nivelle
- Le ciel est par-dessus le toit
- Le clown
- Le Dernier Dizain
- Le faune
- Le foyer, la lueur étroite de la lampe
- Le paysage dans le cadre des portières
- Le piano que baise une main frêle
- Le pinson d’E…
- Le pitre
- Le poète et la muse
- Le Rossignol
- Le soldat laboureur
- Le soleil du matin doucement chauffe et dore
- Le son du cor s’afflige vers les bois
- Le Sonnet de l’Homme au Sable
- Le squelette
- Léon Bloy
- Les chères mains qui furent miennes
- Les coquillages
- Les Dieux
- Les faux beaux jours
- Les indolents
- Les Ingénus
- Les loups
- Les Méfaits de la lune
- Les morts que l’on fait saigner dans leur tombe
- Les plus belles voix
- Les Quais
- Les sages d’autrefois qui valaient bien ceux-ci
- Les uns et les autres
- Les vaincus
- Lettre
- Limbes
- Logique
- Lombes
- Lorsque tu cherches tes puces
- Lucien Létinois (I)
- Lucien Létinois (XXIV)
- Luxures
- Madrigal
- Mains
- Maintenant, un gouffre du Bonheur
- Mais après les merveilles
- Mais Sa tête, Sa tête !
- Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême...
- Malines
- Manchester, à Théodore C. London
- Mandoline
- Marco
- Marine
- Maurice Bouchor
- Même quand tu ne bandes pas
- Minuit
- Mon ami, ma plus belle amitié
- Mon cœur jamais fatigué
- Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il faut m’aimer
- Mon fils est mort
- Mon rêve familier
- Money !
- Monsieur Prudhomme
- Monte sur moi comme une femme
- Morale en raccourci
- Mort !
- N’est-ce pas ? en dépit des sots et des méchants
- Naguère - Prologue
- Né l’enfant des grandes villes
- Nevermore - Allons, mon pauvre cœur
- Nevermore - Souvenir, souvenir
- Nocturne parisien
- Noël
- Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !
- Nos repas sont charmants
- Notre union plutôt véhémente
- Notre-Dame de Santa Fé de Bogota
- Nous sommes bien faits
- Nous sommes en des temps infâmes
- Nouvelles variations sur le Point du Jour
- Nuit du Walpurgis classique
- Ô j’ai froid d’un froid de glace
- Ô mes amants
- Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour
- Ô ne blasphème pas
- Ô toi triomphante
- Ô triste était mon âme
- Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies
- On n’offense que Dieu qui seul pardonne
- Opportet hæreses esse
- Or, malgré ta cruauté
- Or, vous voici promus, petits amis
- Ouverture
- Pantomime
- Pantoum négligé
- Paraboles
- Parfums, couleurs, systèmes, lois !
- Paris
- Parisien, mon frère à jamais étonné
- Parsifal
- Partie carrée
- Pauca mihi
- Paysage
- Paysages
- Paysages Belges
- Pénitence
- Pensée du soir
- Pensionnaires
- Per amica silentia
- Petits amis qui sûtes nous prouver
- Pierrot
- Pierrot Gamin
- Poème saturnien
- Pour E...
- Pour la même
- Pour Marie …, à F.-A. Cazals
- Pour Mlle D. A…
- Pour Roberte
- Pour S…
- Pourquoi triste, ô mon âme
- Prêtres de Jésus-Christ, la vérité vous garde
- Prière
- Prière du matin
- Prince mort en soldat à cause de la France
- Printemps
- Prologue - En route, mauvaise troupe
- Prologue - L’amour est infatigable
- Prologue - Poèmes Saturniens
- Prologue d’un livre
- Prologue supprimé à un livre « d’invectives »
- Promenade sentimentale
- Prudence
- Puis, déjà très anciens
- Puisque l’aube grandit, puisque voici l’aurore
- Quatorzain pour tous
- Quatorzain pour toutes
- Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares ?
- Quand je cause avec toi
- Quand tu me racontes les frasques
- Que ton âme soit blanche ou noire
- Quinze longs jours encore et plus de six semaines
- Raymond de La Tailhède
- Reddition
- Régals
- Rendez-vous
- Résignation
- Réversibilités
- Riche ventre
- Rois
- Rossignol
- Sagesse d’un Louis Racine, je t’envie !
- Saint Benoit-Joseph Labre
- Saint Graal
- Sainte Thérèse veut que la Pauvreté
- Saints innocents
- Sanctus
- Sappho
- Séguidille
- Seigneur, vous m’avez laissé vivre
- Sérénade
- Si tu le veux bien, divine Ignorante
- Simples fresques
- Sois de bronze et de marbre
- Soleils couchants
- Son bras droit, dans un geste aimable de douceur
- Sonnet boiteux
- Sonnet du Trou du Cul
- Sonnet héroïque
- Spleen
- Streets
- Sub urbe
- Sur l’herbe
- Sur le balcon
- Sur le Point du Jour
- Sur un buste de moi, pour mon ami Niederhausern
- Sur un reliquaire
- Sur une statue de Ganymède
- Tableau populaire
- Tantalized
- There
- Toast à distance, aux Rosati
- Ton rire éclaire mon vieux cœur
- Torquato Tasso
- Tournez, tournez, bons chevaux de bois
- Toussaint
- Toute grâce et toutes nuances
- Toutes les amours de la terre
- Triolet à une vertu pour s’excuser du peu
- Tristia
- Tu bois, c’est hideux presque autant que moi
- Tu crois au marc de café
- Tu fus souvent cruelle
- Tu fus une grande amoureuse
- Tu m’as frappé, c’est ridicule
- Tu m’ostines !
- Tu n’es pas du tout vertueuse
- Tu n’es pas vaincu, sinon par le Seigneur
- Tu vis en toutes les femmes
- Un conte
- Un crucifix
- Un dahlia
- Un grand sommeil noir
- Un peu de merde et de fromage
- Un pouacre
- Un projet de mon âge mûr
- Un scrupule qui m’a l’air sot
- Un soir d’octobre
- Un veuf parle
- Une grande dame
- Une Sainte en son auréole
- Va ton chemin sans plus t’inquiéter
- Va, chanson, à tire-d’aile
- Vas unguentatum
- Vendanges
- Veni, Sancte
- Vêpres rustiques
- Vers dorés
- Vers en assonances
- Vers pour être calomnié
- Vers sans rimes
- Vœu
- Voix de Gabriel
- Voix de l’Orgueil : un cri puissant comme d’un cor
- Voulant te fuir
- Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret
- Vous m’avez demandé quelques vers sur « Amour »
- Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons
- Vous voilà pauvres bonnes pensées
- Vrai, nous avons trop d’esprit
- Walcourt
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