Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Pernette du Guillet. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Pernette du Guillet est une poétesse française du XVIe siècle. Née en 1518 et morte en 1545, elle fait partie de l'École Lyonnaise, et fréquente Maurice Scève. Elle serait l'inspiration à l'origine de son recueil "Délie, objet de plus haute vertu" qu'il lui dédie.

Tous les poèmes de Pernette du Guillet classés par ordre alphabétique
- À qui plus est un Amant obligé
- À un sot rimeur, qui trop l'importunait d'aimer
- Aucuns ont dit la Théorique
- Beaulté mortelle icy en vain souspire
- C'est un grand mal se sentir offensé
- C'est une ardeur d'autant plus violente
- Combien de fois ai-je en moi souhaité
- Comme le corps ne permet point de voir
- Coq-à-l'âne
- Dames, s'il est permis
- Désespoir
- En Daulphiné Ceres faisoit encor moisson
- Esprit celeste et des Dieux transformé
- Heureuse est la peine
- Jà n'est besoin que plus je me soucie
- J'ai été par un long temps déçue
- Je ne crois point ce que vous dites
- Je puis avoir failly par ignorance
- Je suis la Journée
- Je suis tant bien que je ne le puis dire
- L’ame et l’esprit sont pour le corps orner
- L’heur de mon mal enflammant le desir
- L’heureuse cendre aultresfois composee
- La fortune envieuse
- La nuict estoit pour moy si tresobscure
- La nuit était pour moi si très-obscure
- Le Corps ravi, l'Âme s'en émerveille
- Le grand désir du plaisir admirable
- Le haut pouvoir des Astres a permis
- L'une vous aime, et si ne peut savoir
- Mômerie des cinq postes d'Amour
- Mon jour estoit assis tout aupres d’une
- Ô vraie amour, dont je suis prise
- Onc Perle nette en vif et petit monde
- Or qui en a, ou en veut avoir deux
- Par ce dizain clairement je m'accuse
- Parfaite amitié
- Point ne se faut sur Amour excuser
- Pour contenter celuy qui me tourmente
- Pour une anatomie
- Prenez le cas que, comme je suis vôtre
- Puis qu'il t’a pleu de me faire congnoistre
- Quand vous voyez, que l'étincelle
- Que d’avoir mal pour chose si louable
- Qui dira ma robe fourrée
- Rymes - L’imprimeur au lecteur
- Sais-tu pourquoi de te voir j'eus envie
- Sans connaissance aucune en mon Printemps j'étais
- Sçais tu pourquoy de te veoir j’euz envie
- Si j'aime cil, que je devrais haïr
- Si je n'ai pu comme voulois
- Si le servir merite recompense
- Si tu ne veulx l’anneau tant estimer
- Soit que par égale puissance
- Un seul je hais, qui deux me fait aimer
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Johann - Poetica Mundi