Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Philippe Desportes. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Philippe Desportes est un conseiller d'État, homme d'église et poète baroque français du XVIe siècle. Né en 1546 et mort en 1606, il est l'auteur de poèmes nourris par l'Antiquité et le Pétrarquisme, accordant un grand soin à la qualité de la langue. Il aurait inspiré La Fontaine.
Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus
Tous les poèmes de Philippe Desportes classés par ordre alphabétique
- À la beauté du Ciel votre beauté j’égale
- À pas lents et tardifs tout seul je me promène
- Amour en même instant m'aiguillonne et m'arrête
- Amour, tu es aveugle et d'esprit et de vue
- Arrête un peu, mon Cœur, où vas-tu si courant ?
- Autour des corps, qu'une mort avancée
- Blessé d'une plaie inhumaine
- Celui que l'Amour range à son commandement
- Celui qui n'a point vu le printemps gracieux
- Cependant que l'honnêteté
- C'était un jour d'été de rayons éclairci
- Cette belle ennemie et d’Amour et de moi
- Ceux qui liront ces vers qu'en pleurant j'ay chantez
- Chanson
- Chaste sœur d'Apollon dont je suis éclairé
- Contre une nuit trop claire
- De mes ans la fleur se déteint
- Douce Liberté désirée
- D'une fontaine
- Durant les grand's chaleurs, j'ai vu cent mille fois
- Elle pleurait, toute pâle de crainte
- Éloignant vos beautés, je vous laisse en ma place
- Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris
- Enfin, l'Amour cruel à tel point m'a rangé
- Épigramme
- Épouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis
- Hélas ! si tu prens garde aux erreurs que j'ay faites
- Icare est chu ici, le jeune audacieux
- J'ai dit à mon désir : pense à te bien guider
- J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune
- Je crois que tout mon lit de chardons est semé
- Je l'aimais par dessein la connaissant volage
- Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse
- Je ressemble en aimant au valeureux Persée
- Je vous offre ces vers qu’Amour m’a fait écrire
- L'âpre fureur de mon mal véhément
- Las ! je ne verray plus ces soleils gracieux
- Las ! que me sert de voir ces belles plaines
- Le tens leger s'enfuit sans m'en apercevoir
- Ma nef passe au destroit d'une mer courroucée
- Marchands, qui recherchez tout le rivage more
- Misérables travaux, vagabonde pensée
- Nuict, mere des soucis, cruelle aux affligez
- Ô bien heureux qui peut passer sa vie
- Ô mon cœur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
- Ô Songe heureux et doux ! où fuis-tu si soudain
- Plainte
- Pourquoi si follement croyez-vous à un verre
- Prière au sommeil
- Quand j'approche de vous, et que je prends l'audace
- Quand je pouvais me plaindre en l'amoureux tourment
- Quand nous aurons passé l'Infernale rivière
- Quand quelquefois je pense à ma première vie
- Que servirait nier chose si reconnue
- Que vous m'allez tourmentant
- Qu'on m'arrache le cœur, qu'on me fasse endurer
- Rosette, pour un peu d'absence
- Si la foi plus certaine en une âme non feinte
- Si la loi des amours saintement nous assemble
- Si la vierge Erigone, Andromède, et Cythère
- S'il est vrai que le ciel ait sa course éternelle
- Solitaire et pensif, dans un bois écarté
- Sommeil, paisible fils de la Nuit solitaire
- Sonnet spirituel (XVIII)
- Sur les abysmes creux des fondements poser
- Un ivoire vivant, une neige animée
- Vos yeux, belle Diane, ont autant de puissance
- Vous n'aimez rien que vous, de vous-même maîtresse
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Johann - Poetica Mundi