Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Pierre de Ronsard. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Pierre de Ronsard est un poète français du XVIe siècle appartenant au groupe de la Pléiade qu'il a formé avec Du Bellay. Né en 1524 et mort en 1585, celui qu'on surnomme "le prince des poètes" est l'auteur de poèmes engagés et amoureux ainsi que d'une épopée inachevée : "La Franciade".

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus
Tous les poèmes de Pierre de Ronsard classés par ordre alphabétique
- À Cassandre
- À Cassandre (I)
- À Cupidon
- À la forêt de Gastine
- À lui mesme
- À Marguerite
- À mon retour
- À Monsieur de Verdun
- À Phoebus
- À sa guiterre
- À sa lyre
- À sa maîtresse
- À sa maîtresse (II)
- À sa muse
- À son âme
- À son luth
- À son Page
- À une fille
- Adieu, belle Cassandre, et vous, belle Marie
- Afin que ton renom s’étende par la plaine
- Ah longues nuicts d’hyver de ma vie bourrelles
- Amour me tue, et si je ne veux dire
- Amour, Amour, donne-moi paix ou trêve
- Amour, je ne me plains de l’orgueil endurci
- Amour, tu es trop fort, trop faible est ma Raison
- Amour, tu sembles
- Amourette
- Ange divin, qui mes plaies embaume
- Au mois d’avril quand l’an se renouvelle
- Au Seigneur de Villeroy
- Au Sieur Robertet
- Autre du même à la même dame
- Avant le temps tes temples fleuriront
- Bien qu’à grand tort il te plaît d’allumer
- Bien que les champs, les fleuves et les lieux
- Bonjour mon cœur
- Ce beau corail, ce marbre qui soupire
- Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifice
- Ce jour de Mai qui a la tête peinte
- Celle, de qui l’amour vainquit la fantaisie
- Celui qui boit
- Ces liens d’or, cette bouche vermeille
- Chanson (IV)
- Chanson d’amour
- Ciel, air et vents, plains et monts découverts
- Comme on voit sur la branche (modernisé)
- Comme on voit sur la branche au mois de may la rose
- Comme un Chevreuil (modernisé)
- Comme un chevreuil, quand le printemps destruit
- Contre Denise Sorcière
- Contre les bucherons de la forest de Gastine
- Cueillez dès aujourd’huy les roses de la vie
- Cusin, monstre à double aile, au mufle Elephantin
- D’autant que l’arrogance est pire que l’humblesse
- D’un profond pensement j’avois si fort troublee
- Dans le serein de sa jumelle flamme
- Dedans des Prez je vis une Dryade
- Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
- Douce Maîtresse
- Élégie à Hélène
- Élégie à Janet, peintre du roi
- Élégie contre les bucherons de la forest de Gâtine
- Élégie du printemps
- Épitaphe de François Rabelais
- Foufroye moy de grace
- Ha ! que je porte et de haine et d’envie
- Hinne à la Nuit
- Hymne à la nuit
- Hymne de la Mort
- II ne faut s’ébahir, disaient ces bons vieillards
- Il faut laisser maisons et vergers et jardins
- Il ne falloit, Maistresse, autres tablettes
- Institution pour l’adolescence du Roi très-crétien Charles IXe de ce nom
- J’ai l’âme de regrets touchée
- J’ai l’esprit tout ennuyé
- J’ai pour maitresse
- Jamais Hector aux guerres n’estoit lâche
- Jamais Hector aux guerres n’était lâche
- J’ay varié ma vie en devidant la trame
- Je faisais ces Sonnets
- Je faisois ces Sonets en l’antre Pieride
- Je mourrais de plaisir…
- Je n’ai plus que les os
- Je n’ay plus que les os, un Schelette je semble
- Je ne suis seulement amoureux de Marie
- Je plante en ta faveur cet arbre
- Je suis homme né pour mourir
- Je veux lire en trois jours l’Iliade d’Homère
- Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
- Je veux pousser par l’univers ma peine
- Je vois tes yeux
- Je voudrais bien richement jaunissant
- Je voudrais être Ixion et Tantale
- Je vous donne des œufs. L’œuf en sa forme ronde
- Je vous envoye un bouquet que ma main
- J’espère et crains
- La jeunesse
- La quenouille
- L’absence
- Laisse-moi sommeiller, amour
- L’an se rajeunissait en sa verte jouvence (Sonnet à Sinope)
- L’arrogance est pire que l’humilité
- Le boyteus mari de Vénus
- Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse
- Le printemps
- Le soir qu’Amour vous fit en la salle descendre
- Le vingtième d’Avril couché sur l’herbelette
- Les Amours de Marie (VI)
- Les poètes l’ont si bien dit
- L’honnêteté, douceur, rigueur
- Ma maîtresse est toute angelette
- Magie, ou délivrance d’amour
- Maîtresse embrasse-moi
- Marie, à tous les coups vous me venez reprendre
- Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas
- Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
- Marie, que je sers en trop cruel destin
- Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
- Marie, vous avez la joue aussi vermeille
- Marie, vous passez en taille, et en visage
- Meschantes nuicts d’hyver
- Mignonne, allons voir si la rose
- Mon Dieu, que j’aime à baiser les beaux yeux
- Nature ornant la dame
- Ni de son chef le trésor crépelu
- Ni voir flamber au point du jour les roses
- Ny voir flamber au point du jour les roses
- Ô doux parler, dont l’appât doucereux
- Ô Fontaine Bellerie
- Ô ma douce moitié
- Ode à Cassandre (En vous donnant ce pourtraict mien)
- Ode à Cassandre (Mignonne, allons voir si la rose)
- Ode à la fièvre
- Ode à l’Alouette
- Ode en dialogue des yeux et de son cœur
- Ode en dialogue, l’Espérance et Ronsard
- Ode saphique XXX
- Ode saphique XXXI
- Odelette
- Odelette à l’Arondelle
- Odelette à sa maistresse
- Odelette à sa maîtresse
- Odelette a son bouquet
- Odelette à une jeune maîtresse
- Ores l’effroi et ores l’espérance
- Ôtez votre beauté, ôtez votre jeunesse
- Par un destin dedans mon cœur demeure
- Pareil j’égale au soleil que j’adore
- Petit nombril, que mon penser adore
- Plus mille fois que nul or terrien
- Plût-il à Dieu n’avoir jamais tâté
- Pour boire dessus l’herbe tendre
- Pour être en vain tes beaux soleils aimant
- Pour retenir un amant
- Pour son tombeau
- Pourtant si ta maîtresse
- Pren ceste rose aimable comme toy
- Prends cette rose
- Quand au temple nous serons
- Quand ces beaux yeux
- Quand en songeant ma folâtre j’acolle
- Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
- Quand je suis tout baissé sur votre belle face
- Quand je suis vingt ou trente mois
- Quand je te voy seule assise à par-toy
- Quand l’été, dans ton lit, tu te couches malade
- Quand vous serez bien vieille
- Que me servent mes vers
- Que tu es Cicéron
- Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte
- Quiconque a peint Amour, il fut ingenieux
- Qu’il me soit arraché des tétins de sa mère
- Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
- Si c’est aimer, Madame, et de jour, et de nuit
- Si je trépasse entre tes bras, Madame
- Si mille œillets, si mille liz j’embrasse
- Si mon grand Roy n’eust veincu meinte armee
- Si seulement l’image de la chose
- Soit que son or se crêpe lentement
- Sonnet à Marie (Je vous envoie un bouquet)
- Sur mes vingt ans, pur d’offense et de vice
- Tant de fois s’appointer, tant de fois se fascher
- Te regardant assise auprès de ta cousine
- Tu te moques, jeune ribaude
- Une beauté de quinze ans enfantine
- Verson ces roses pres ce vin
- Vœu à Vénus
- Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre
- Vous triomphez de moi, et pour ce, je vous donne
- Vu que tu es plus blanche
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Johann - Poetica Mundi