Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Théodore Agrippa d’Aubigné. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Théodore Agrippa d'Aubigné est un écrivain et poète français des XVIe et XVIIe siècles appartenant au mouvement du Baroque. Né en 1552 et mort en 1630, l'auteur des Tragiques travaille toute sa vie à défendre les protestants. Il est également un chef de guerre redouté.

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus
Les Plus Beaux Poèmes de Théodore Agrippa d’Aubigné
Tous les poèmes de Théodore Agrippa d’Aubigné classés par ordre alphabétique
- À l’éclair violent de ta face divine
- À longs filets de sang ce lamentable corps
- Accourez au secours de ma mort violente
- Ainsi l’amour et la fortune
- Amour qui n’est qu’amour
- Au temps que la feille blesme…
- Au tribunal d’amour, après mon dernier jour
- Auprès de ce beau teint
- Bien que la guerre soit âpre
- Ce doux hiver qui égale ses jours
- Ce qui a esgalé aux cheveulx de la terre
- Combattu des vents et des flots
- Complainte à sa dame
- Contre la présence réelle
- D’un outrageux combat la fortune et l’amour
- Dans le parc de Thalcy
- Déjà la terre avait avorté la verdure
- Diane, ta coutume est de tout déchirer
- En mieux il tournera l’usage des cinq sens
- En un petit esquif éperdu, malheureux
- Est-il donc vrai qu’il faut que ma vue enchantée
- Extase
- Hardy j’entreprendray de te rendre éternelle
- J’entreprens hardiment de te rendre eternelle
- J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante
- Je brûle avec mon âme
- Je confesse, j’eu tort
- Je sens bannir ma peur et le mal que j’endure
- Jugement (I)
- Jugement (II)
- L’hiver du sieur d’Aubigné
- L’Hyver (L’Hiver)
- La chambre dorée
- Larmes
- Le miel sucré de votre grâce
- Le peintre qui voudrait animer un tableau
- Les lys me semblent noirs, le miel aigre à outrance
- Les tragiques
- Liberté douce et gracieuse
- Mais quoi ! c’est trop chanté...
- Mais quoi ! déjà les Cieux s’accordent à pleurer
- Mille baisers perdus
- Misères
- Miséricorde, ô Cieux, ô Dieux impitoyables
- N’a doncques peu l’amour d’une mignarde rage
- Nos désirs sont d’amour
- Nous ferons, ma Diane, un jardin fructueux
- Ô combien le repos devrait être plaisant
- Ô divine Inconstance, aie pitié de moi
- On ne voit rien au Ciel, en la terre pezante
- Ores qu’on voit le Ciel
- Oui, je suis proprement à ton nom immortel
- Oui, mais ainsi qu’on voit en la guerre civile
- Par ses yeux conquerans fust tristement ravie
- Pauvre peintre aveuglé
- Pressé de désespoir
- Prière de l’auteur
- Prière du matin
- Prière du soir
- Pseaume troisième
- Puisque le corps blessé
- Quand du sort inhumain les tenailles flambantes
- Quand mon esprit jadis sujet à ta colère
- Quiconque sur les os des tombeaux effroyables
- Réveil
- Ronsard si tu as su par tout le monde épandre
- Si je pouvais porter dedans le sein
- Si mes vers innocents ont fait à leur déçu
- Si vous voyiez mon coeur ainsi que mon visage
- Sort inique et cruel
- Soubs la tremblante courtine…
- Soupirs épars, sanglots en l’air perdus
- Sous un œil languissant et pleurant à demi
- Sus ! que mon âme donc aille servir son âme
- Tout cela qui sent l’homme à mourir me convie
- Tu vois, juste vengeur, les fleaux de ton Église…
- Un clairvoyant faucon en volant par rivière
- Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies
- Voici la mort du ciel...
- Vous qui avez écrit qu’il n’y a plus en terre
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Johann - Poetica Mundi