Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Victor Hugo. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes.
Victor Hugo est un poète, romancier et dramaturge français du XIXe siècle. Né en 1802 et mort en 1885, il s'illustre dans tous les genres, connaît l'exil à cause son opposition à Louis-Napoléon Bonaparte, et le deuil suite à la mort de sa fille, Léopoldine. Il représente le Romantisme.

Sélection de ses poèmes les plus beaux et les plus connus
Le meilleur de la poésie de Victor Hugo sur différents thèmes
- Les Plus Beaux Poèmes d'Amour de Victor Hugo
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur l'Âge
- Le Meilleur Poème de Victor Hugo sur l'Amitié
- Les Meilleur Poèmes de Victor Hugo sur les Animaux
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur l'Art
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Beauté
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur le Bonheur
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur le Corps
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur l'Enfance et la Jeunesse
- Les Meilleurs Poèmes Engagés de Victor Hugo
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur l'Espoir
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur les Femmes
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur les Fils et les Filles
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Guerre
- Le Meilleur Poème de Victor Hugo sur la Mer
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Mort et le Deuil
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Naissance
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Nature
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Nostalgie et les Souvenirs
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Nuit
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur les Parents et Grands-Parents
- Les Meilleurs Poèmes Religieux et Ésotériques de Victor Hugo
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur le Rêve et l'Imaginaire
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Tristesse et la Mélancolie
- Les Meilleurs Poèmes de Victor Hugo sur la Vie
- Victor Hugo contre la peine de mort
Recueils
- Odes et Ballades (1828)
- Les Orientales (1829)
- Les Feuilles d’Automne (1831)
- Les Chants du Crépuscule (1835)
- Les Voix Intérieures (1837)
- Les Rayons et les Ombres (1840)
- Les Châtiments (1853)
- Les Contemplations (1856)
- Les Chansons des Rues et des Bois (1866)
- L'Année Terrible (1872)
- L'Art d'Être Grand-Père (1877)
- Les Quatre Vents de l'Esprit (1881)
- La Légende des Siècles (1859 - 1883)
Tous les poèmes de Victor Hugo classés par ordre alphabétique
- ΨΥΧΗ
- 1453
- 15 février 1843
- 1er janvier
- À ..., trappiste à La Meilleraye
- À …
- À Albert Dürer
- À Alexandre D.
- À Alphonse Rabbe
- À André Chénier
- À Aug. V.
- À Canaris
- À Canaris (D’où vient que ma pensée)
- À celle qui est restée en France
- À celle qui est voilée
- À cette terre, où l’on ploie
- À ceux qu’on foule aux pieds
- À ceux qui dorment
- À ceux qui font de petites fautes
- À ceux qui reparlent de fraternité
- À ceux qui sont petits
- À des âmes envolées
- À des journalistes de robe courte
- À des oiseaux envolés
- À dona Rosita Rosa
- À dos d’éléphant
- À Eugène, vicomte H.
- À G... Y
- À Georges
- À Granville, en 1836
- À Henri V
- À J. de S…, laboureur à Yvetot
- À Jeanne
- À Jeanne (I)
- À Jules J.
- À Juvénal
- À L.
- À l’Académie des jeux floraux
- À l’Arc de triomphe
- À l’enfant malade pendant le siège
- À l’Homme
- À l’homme qui a livré une femme
- À l’obéissance passive (I)
- À l’obéissance passive (II)
- À l’obéissance passive (III)
- À l’obéissance passive (IV)
- À l’obéissance passive (V)
- À l’obéissance passive (VI)
- À l’obéissance passive (VII)
- À l’obéissance passive (VIII)
- À l’ombre d’un enfant
- À la belle impérieuse
- À la colonne
- À la colonne de la Place Vendôme
- À la fenêtre, pendant la nuit
- À la France
- À la mère de l’enfant mort
- À la Vendée
- À Laure, duchesse d’A.
- À Louis B.
- À Lydie
- À M. Alphonse de L.
- À M. David, statuaire
- À M. De Chateaubriand
- À M. de Lamartine
- À M. Froment Meurice
- À M. le d. d’O.
- À M. le D. De ...
- À ma fille
- À ma fille Adèle
- À Madame D. G. de G.
- À Madame Marie M.
- À Madame Paul Meurice
- À Mademoiselle Fanny de P.
- À mademoiselle J.
- À mademoiselle Louise B.
- À maman
- À mes amis
- À mes amis L. B. et S.-B
- À mes amis S.-B. et L. B.
- À mes odes
- À Meurice – À Vacquerie
- À Mme la comtesse A.H.
- À mon ami S. B.
- À mon père
- À monsieur Fontaney
- À Ol
- À Olympio
- À Paul M.
- À Petite Jeanne
- À prince, prince et demi
- À propos d’Horace
- À propos de dona Rosa
- À propos de la loi dite de la liberté d’enseignement
- À propos de la loi Faider
- À quatre prisonniers
- À qui donc sommes-nous ?
- À qui la faute
- À qui la victoire définitive ?
- À quoi je songe ?
- À quoi songeaient les deux cavaliers
- À Ramon, duc de Benav
- À Rosita
- À Théophile Gautier
- À toi
- À Trilby, le lutin d’Argail
- À un ami
- À un écrivain
- À un homme fini
- À un homme partant pour la chasse
- À un martyr
- À un passant
- À un poète
- À un poète aveugle
- À un qui veut se détacher
- À un riche
- À un visiteur parisien
- À un voyageur
- À une femme
- À une jeune femme
- À une jeune fille
- À Vianden
- À Villequier
- À Virgile
- À vous qui êtes là
- Abîme
- Action de grâces
- Ad majorem dei gloriam
- Adieux de l’hôtesse arabe
- Ah ! c’est un rêve ! non ! nous n’y consentons point
- Ah ! vous voulez la lune
- Aide offerte à Majorien
- Aimons toujours ! Aimons encore !
- Ainsi les plus abjects, les plus vils
- Air de la princesse d’Orange
- Âme ! être, c’est aimer
- Ami Z
- Ami, j’ai quitté vos fêtes
- Amis, un dernier mot !
- Amour
- Amour secret
- Anacréon, poète
- André Chénier
- Androclès
- Anima vilis
- Ainsi nous n’avons plus Strasbourg
- Apothéose
- Apparition
- Applaudissement
- Apportez vos chaudrons, sorcières de Shakespeare
- Approchez-vous. Ceci, c’est le tas des dévots
- Après avoir souffert
- Après l’hiver
- Après l’hiver (I)
- Après la bataille
- Après les Fourches Caudines
- Après les victoires de Bapaume, de Dijon, et de Villersexel
- Après souper
- Après une lecture de Dante
- Attente
- Au bois
- Au bord de la mer
- Au canon le V. H.
- Au cheval
- Au colonel Gustaffson
- Au fils d’un poëte
- Au lion d’Androclès
- Au moment de rentrer en France
- Au peuple
- Au peuple (II)
- Au poëte qui m’envoie une plume d’aigle
- Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève
- Au roi Louis-Philippe après l’arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839
- Au statuaire David
- Au vallon de Chérizy
- Aube
- Aucune aile ici-bas n’est pour longtemps posée
- Autre chanson
- Autre guitare
- Aux anges qui nous voient
- Aux arbres
- Aux champs
- Aux femmes
- Aux Feuillantines
- Aux morts du 4 décembre
- Aux oiseaux et aux nuages
- Aux prêtres
- Aux proscrits
- Aux rêveurs de monarchie
- Aux ruines de Montfort-L’Amaury
- Avant la conclusion du traité
- Avant que mes chansons aimées
- Avril – À Louis B.
- Ayant vu le massacre immense
- Aymerillot
- Bancroft
- Baraques de la foire
- Bas à l’oreille du lecteur
- Batailles
- Bestiarium
- Bêtise de la guerre
- Bièvre
- Billet du matin
- Bivar
- Bon conseil aux amants
- Booz endormi
- Bounaberdi
- Bourgeois parlant de Jésus-Christ
- Bruit que fait le plancher
- Buonaparte
- C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux
- C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture
- C’est l’hiver
- C’est la nuit ; la nuit noire
- C’est parce qu’elle se taisait
- C’est une émotion étrange
- C’était en juin, j’étais à Bruxelles
- C’était la première soirée
- Cadaver
- Cæruleum mare
- Canaris
- Capitulation
- Carte d’Europe
- Cassandre
- Ce qu’a fait Ruy le Subtil
- Ce qu’ils font devient plus difficile à faire
- Ce qu’on entend sur la montagne
- Ce qu’on y voit encore
- Ce que c’est que la mort
- Ce que dit la bouche d’ombre
- Ce que dit le public
- Ce que j’aime
- Ce que le poète se disait en 1848
- Ce qui n’a pas encore de nom
- Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813
- Ce serait une erreur de croire que ces choses
- Ce siècle avait deux ans
- Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène
- Célébration du 14 juillet dans la forêt
- Cent mille hommes
- Cérigo
- Certes, elle n’était pas femme et charmante en vain
- Certes, une telle mort, ignorée ou connue
- Cette nuit, il pleuvait, la marée était haute
- Cette nuit-là
- Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent
- Chacun choisit un homme
- Changement d’horizon
- Chanson - À quoi ce proscrit pense-t-il
- Chanson - Il est un peu tard pour faire la belle
- Chanson - J’aime à me figurer, de longs voiles couvertes
- Chanson - L’Âme en fleur
- Chanson - Proscrit, regarde les roses
- Chanson d’ancêtre
- Chanson d’autrefois
- Chanson d’autrefois et Chanson d’aujourd’hui
- Chanson de Gavroche
- Chanson de grand-père
- Chanson de pirates
- Chanson des oiseaux
- Chanson du bol de punch
- Chanson pour faire danser en rond les petits enfants
- Chant sur le berceau
- Charles Vacquerie
- Chelles
- Choix entre les deux nations
- Choix entre deux passants
- Chose vue un jour de printemps
- Choses du soir
- Choses écrites à Créteil
- Clair de lune
- Claire
- Claire P.
- Clarté d’âmes
- Clôture
- Comédie dans les feuilles
- Comme dans les étangs assoupis sous les bois
- Comme leurs yeux troublés
- Commencement d’une illusion
- Conclusion
- Confiance
- Confrontations
- Conseil
- Contempler dans son bain sans voiles
- Coup d’épée ; oui, mais non de poignard.
- Coup sur coup. Deuil sur deuil. Ah ! l’épreuve redouble
- Crépuscule
- Cri de guerre du mufti
- Croire, mais pas en nous
- D’après Albert Dürer
- Danger d’aller dans les bois
- Dans ce jardin antique
- Dans cette ville où rien ne rit
- Dans l’alcôve sombre
- Dans l’église de ...
- Dans l’ombre
- Dans la forêt
- Dans la forêt (Quelqu’un qui s’y serait perdu ce soir)
- Dans le cimetière de …
- Dans le cirque
- Dans le jardin
- Dans les ruines d’une abbaye
- Dans Virgile parfois
- Dante écrit deux vers
- Date lilia
- David, le marbre est saint
- De la femme au ciel
- De tout ceci, du gouffre obscur, du fatal sort
- Dédain
- Déjà nommé
- Demain, dès l’aube
- Dénoncé à celui qui chassa les vendeurs du Temple
- Dénonciation de l’esprit des bois
- Départ de l’aventurier pour l’aventure
- Depuis quatre mille ans il tombait dans l’abîme
- Depuis six mille ans la guerre
- Désintéressement
- Deux voix dans le ciel
- Dicté après juillet 1830
- Dicté en présence du glacier du Rhône
- Dieu
- Dieu éclaboussé par Zoïle
- Dieu est toujours là
- Dieu fait les questions pour que l’enfant réponde
- Dieu invisible au philosophe
- Dieu ne frappe qu’en haut. Infimes que nous sommes !
- Dieu qui sourit et qui donne
- Dignes l’un de l’autre
- Dizain de femmes
- Dolor
- Dolorosæ
- Don Ruy le Subtil
- Du haut de la muraille de Paris
- Du songe universel
- Duel en juin
- Duo
- Durandal travaille
- Éblouissements
- Éclaircie
- Éclipse
- Écoute-moi, Madeleine
- Écoutez. Je suis Jean…
- Écrit après la visite d’un bagne
- Écrit au bas d’un crucifix
- Écrit au bas d’un portrait de Madame la Duchesse d’Orléans
- Écrit en 1827
- Écrit en 1846
- Écrit en 1855
- Écrit en exil
- Écrit le 17 juillet 1851
- Écrit sur la plinthe d’un bas-relief antique
- Écrit sur la première page d’un livre de Joseph de Maistre
- Écrit sur la première page d’un Pétrarque
- Écrit sur la vitre d’une fenêtre flamande
- Écrit sur le mur de Versailles
- Écrit sur le tombeau d’un petit enfant au bord de la mer
- Écrit sur un exemplaire de la « Divina Commedia »
- Écrit sur un livre du jeune Michel Ney
- Égalité
- Églogue
- Elle avait pris ce pli
- Elle est gaie et pensive
- Elle était déchaussée, elle était décoiffée
- Elle était pâle, et pourtant rose
- Elle passa. Je crois qu’elle m’avait souri
- Elle prend un miroir
- En écoutant chanter la princesse
- En écoutant les oiseaux
- En frappant à une porte
- En hiver la terre pleure
- En mai
- En marchant la nuit dans un bois
- En marchant le matin
- En passant dans la place Louis XV
- En plein midi
- En quittant Bruxelles
- En sortant du collège (I)
- En sortant du collège (II)
- En voyant flotter sur la Seine des cadavres prussiens
- Encore à toi
- Encore Dieu, mais avec des restrictions
- Encore l’immaculée conception
- Enthousiasme
- Entre deux bombardements
- Entrée dans l’exil
- Enveloppe d’une pièce de monnaie dans une quête faite par Jeanne
- Envoi des feuilles d’automne
- Épitaphe
- Épitaphe (Odes et Ballades)
- Épitaphe de Jean Valjean
- Ère des Césars
- Espoir en dieu
- Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire !
- Et Jeanne à Mariette a dit
- Et les voilà mentant, inventant, misérables
- Et voilà donc les jours tragiques revenus !
- Être aimé
- Éviradnus
- Éviradnus immobile
- Exil
- Explication
- Expulsé de Belgique
- Extase
- Fable ou histoire
- Falkenfels
- Fantômes
- Faut plus d’gouvernement
- Fenêtres ouvertes
- Fêtes de village en plein air
- Fiat voluntas
- Fin
- Fleuves et poètes
- Floréal
- Flux et Reflux
- Fonction de l’enfant
- Fonction du poète (I)
- Fonction du poète (II)
- Force des choses
- France ! à l’heure où tu te prosternes
- France et âme
- Fraternité
- Fuis l’éden des anges déchus
- Fuite en Sologne
- Fulgur
- Fuyez au mont inabordable
- Gaïffer-Jorge, duc d’Aquitaine
- Garde à jamais dans ta mémoire
- Gare !
- Genio libri
- Georges et Jeanne
- Grand âge et bas âge mêlés
- Grenade
- Guerre civile
- Guitare
- Halte en marchant
- Hélas ! tout est sépulcre…
- Hermina
- Heureux l’homme
- Hier au soir
- Hier, la nuit d’été
- Hilaritas
- Homo duplex
- Horreur sacrée
- Horror
- Hugo Dundas
- Hymne
- Hymne des transportés
- Ibo
- Idolâtries et Philosophies
- Idylle
- Idylles
- Il est des jours abjects où, séduits par la joie
- Il fait froid
- Il faut agir, il faut marcher, il faut vouloir
- Il faut que le poète
- Il lui disait : Vois-tu..
- Il n’avait pas vingt ans
- Ils sont toujours là
- Ils soupent
- Imitation d’Owen
- Inde Irae
- Inferi
- Inscription
- Insomnie
- Insondable, immuable, éternel, absolu
- Intérieur
- Interruption à une lecture de Platon
- Invocation du mage contre les deux rois
- J’ai beau comme un imbécile
- J’ai coudoyé les rois, les grands, le fou, le sage
- J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline
- J’ai vu pendant trois jours de haine
- J’aime l’araignée
- J’aime un groupe d’enfants qui rit et qui s’assemble
- J’aime un petit enfant, et je suis un vieux fou.
- J’entreprends de conter l’année épouvantable
- J’étais le vieux rôdeur sauvage de la mer
- J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées
- Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme !
- Je la revois, après vingt ans, l’île où Décembre
- Je lisais. Que lisais-je ?
- Je me fais paysan comme eux
- Je me penchai
- Je n’ai pas de palais épiscopal en ville
- Je n’ai point de colère et cela vous étonne
- Je ne demande pas autre chose aux forêts
- Je ne me mets pas en peine
- Je ne me sentais plus vivant
- Je ne sais si je vais sembler étrange
- Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire
- Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose
- Je payai le pêcheur qui passa son chemin
- Je prendrai par la main les deux petits enfants
- Je pressais ton bras qui tremble
- Je racontais un conte
- Je respire où tu palpites,
- Je sais bien qu’il est d’usage
- Je suis des bois l’hôte fidèle
- Je suis enragé. J’aime
- Je suis fait d’ombre et de marbre
- Je suis haï. Pourquoi ? Parce que je défends
- Je suis naïf, toi cruelle
- Je t’aime, avec ton œil candide
- Je travaille
- Je vis les quatre vents passer
- Jean Chouan
- Jeanne chante ; elle se penche
- Jeanne dort
- Jeanne endormie
- Jeanne endormie (II)
- Jeanne était au pain sec
- Jeanne fait son entrée
- Jeanne lapidée
- Jeanne songeait
- Jéhovah
- Jersey
- Jeune fille, l’amour, c’est d’abord un miroir
- Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans
- Jeune homme, ce méchant fait une lâche guerre
- Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites
- Joies du soir
- Jolies Femmes
- Jour de fête
- Jour de fête aux environs de Paris
- Joyeuse vie
- L’absolu, l’éternel. Rien après, rien avant
- L’Aigle du casque
- L’âme
- L’âme à la poursuite du vrai
- L’Amour
- L’an neuf de l’Hégire
- L’Antéchrist
- L’Antre des Cyclopes
- L’art et le peuple
- L’ascension humaine
- L’aube est moins claire
- L’aurore
- L’aurore s’allume
- L’autre
- L’autre président
- L’Avarice et l’Envie
- L’avenir
- L’échafaud
- L’Église
- L’Égout de Rome
- L’Élégie des fléaux
- L’Empereur s’amure
- L’enfance
- L’Enfant
- L’enfant avril est le frère
- L’enfant, voyant l’aïeule à filer occupée
- L’Enterrement
- L’Épopée du ver
- L’ermite
- L’exilé satisfait
- L’expiation
- L’hirondelle au printemps cherche les vieilles tours
- L’histoire
- L’histoire a pour égout des temps comme les nôtres
- L’Homme
- L’Homme a ri
- L’Homme heureux
- L’Hydre
- L’immaculée conception
- L’immense être inconnu sourit. L’aube réveille
- L’ombre
- L’oubli
- L’univers, c’est un livre
- La bande noire
- La bataille commença
- La bataille perdue
- La blanche Aminte
- La calomnie immonde et qu’on jette en courant
- La captive
- La caravane
- La chanson de Maglia
- La Chanson de Sophocle à Salamine
- La Chanson des aventuriers de la mer
- La Chanson des doreurs de proues
- La chasse du Burgrave
- La chasse et la nuit
- La chauve-souris
- La chouette
- La cicatrice
- La clarté du dehors
- La coccinelle
- La Colère du bronze
- La Comète
- La confiance du marquis Fabrice
- La conscience
- La conversation des infants
- La coutume de Lusace
- La défiance d’Onfroy
- La demoiselle
- La douleur du pacha
- La face de la bête est terrible
- La fée et la péri
- La femme
- La fête chez Thérèse
- La fiancée du timbalier
- La Figliola
- La fille d’O-Taïti
- La Fin
- La grand’mère
- La guerre d’Espagne
- La hache ? Non. Jamais...
- Là-haut
- La légende de la nonne
- La liberté
- La Lutte
- La lyre et la harpe
- La marquise Mahaud
- La massue
- La mêlée
- La mère qui défend son petit
- La méridienne du lion
- La mise en liberté
- La mort de Mlle de Sombreuil
- La mort du chien
- La mort du duc de Berry
- La naissance du duc de Bordeaux
- La nature
- La nature est pleine d’amour
- La nichée sous le portail
- La nuit
- La nuit, pendant que les pêcheurs sont en mer
- La Paternité
- La pauvre fleur
- La peau de tigre
- La pente de la rêverie
- La plume de Satan
- La prière pour tous (I)
- La prière pour tous (II)
- La prière pour tous (III)
- La prière pour tous (IV)
- La prière pour tous (IX)
- La prière pour tous (V)
- La prière pour tous (VI)
- La prière pour tous (VII)
- La prière pour tous (VIII)
- La prière pour tous (X)
- La prisonnière passe...
- La reculade
- La Révolution
- La ronde du sabbat
- La rose de l’infante
- La salle à manger
- La satire à présent, chant où se mêle un cri
- La sieste
- La société est sauvée
- La sortie
- La source
- La source tombait du rocher
- La statue
- La statue (II)
- La sultane favorite
- La terre a vu jadis
- La Terre - Hymne
- La tombe dit à la rose
- La trompette du jugement
- La Vache
- La Vérité
- La vie aux champs
- La Ville disparue
- La ville prise
- La vision de Dante
- La Voie Lactée
- Laetitia rerum
- Laissez. – Tous ces enfants sont bien là
- Lazzara
- Le 4 novembre 1820
- Le baptême du duc de Bordeaux
- Le Bey outragé
- Le Bord de la mer
- Le Bout de l’oreille
- Le cantique de Bethphagé
- Le cauchemar
- Le cèdre
- Le Cercle des tyrans
- Le champ du potier
- Le Chant de ceux qui s’en vont sur mer
- Le chant de l’arène
- Le chant du cirque
- Le chant du tournoi
- Le Chasseur noir
- Le château-fort
- Le Chêne du parc détruit
- Le Cheval
- Le Cid exilé
- Le Cimetière d’Eylau
- Le comte de Buffon fut bonhomme
- Le Comte Félibien
- Le couchant flamboyait à travers les bruines
- Le crapaud
- Le crucifix
- Le crucifix (Et, là-bas, sans qu’il fût besoin de l’éperon)
- Le Danube en colère
- Le dernier chant
- Le derviche
- Le Détroit de l’Euripe
- Le Deuil
- Le dévouement
- Le doigt de la femme
- Le feu du ciel
- Le firmament est plein de la vaste clarté
- Le géant
- Le géant, aux dieux
- Le génie
- Le grand homme vaincu peut perdre en un instant
- Le grand Joss et le petit Zéno
- Le Grand Siècle
- Le hibou
- Le Jour des rois
- Le jour reparaît
- Le Lendemain
- Le maître d’études
- Le manteau impérial
- Le Mariage de Roland
- Le matin
- Le mendiant
- Le message de Grant
- Le Monde et le Siècle
- Le Mont-aux-pendus
- Le Nid
- Le nuage
- Le paladin
- Le Parisien du faubourg
- Le Parricide
- Le Parti du crime
- Le pas d’armes du roi Jean
- Le pigeon
- Le penseur est lugubre au fond des solitudes
- Le plus haut attentat que puisse faire un homme
- Le poème éploré se lamente
- Le poëte
- Le poëte (Odes et Ballades)
- Le poëte au calife
- Le Poète au ver de terre
- Le poète bat aux champs
- Le poète dans les révolutions
- Le poète s’en va dans les champs
- Le pont
- Le portrait d’une enfant
- Le pot cassé
- Le Procès à la Révolution
- Le Progrès calme et fort
- Le ravin d’Ernula
- Le sacre de Charles X
- Le Sacre de la femme
- Le Sept Août 1829
- Le sylphe
- Le ravin
- Le Régiment du baron Madruce
- Le repas libre
- Le rétablissement de la statue de Henri IV
- Le revenant
- Le Roi de Perse
- Le Romancero du Cid
- Le rouet d’Omphale
- Le Sacre
- Le sacre de la femme - Ève
- Le sacre de la femme - Ineffable lever...
- Le satyre
- Le soleil était là qui mourait dans l’abîme
- Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées
- Le sommet est désert, noir, lugubre, inclément
- Le spectre que parfois je rencontre riait
- Le Soutien des empires
- Le syllabus
- Le Te Deum du 1er janvier 1852
- Le Temple
- Le titan
- Le Travail des captifs
- Le trouble-fête
- Le vieil esprit de nuit, d’ignorance et de haine
- Le vieillard chaque jour dans plus d’ombre s’éveille
- Le Vieillard du Galèse
- Le voile
- Le voyage
- Le Vrai dans le vin
- Les 7 500 000 oui
- Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- Les Bannis
- Les bêtes, cela parle
- Les bleuets
- Les Bonnes Intentions de Rosa
- Les Bonzes
- Les châtiments (I)
- Les châtiments (II)
- Les châtiments (III)
- Les châtiments (IV)
- Les châtiments (V)
- Les Commissions mixtes
- Les conseillers probes et libres
- Les Crucifiés
- Les deux archers
- Les deux îles
- Les Deux mendiants
- Les Deux Trophées
- Les Deux Trouvailles de Gallus
- Les deux voisins
- Les Deux Voix
- Les Djinns
- Les enfants gâtés
- Les enfants lisent, troupe blonde
- Les enfants pauvres
- Les Enterrements civils
- Les Esprits
- Les Étoiles filantes
- Les femmes sont sur la terre
- Les forts
- Les funérailles de Louis XVIII
- Les fusillés
- Les Grandes Lois
- Les Grands Corps de l’État
- Les Grands Morts
- Les griffonnages de l’écolier
- Les innocents
- Les Insulteurs
- Les Lions
- Les mages
- Les malheureux
- Les martyres
- Les oiseaux
- Les oubliettes
- Les Pamphlétaires d’église
- Les Paroles de mon oncle
- Les pauvres gens
- Les paysans au bord de la mer
- Les Précurseurs
- Les Quatre jours d’Elciis
- Les Raisons du Momotombo
- Les Reîtres
- Les Sept merveilles du monde
- Les siècles sont au peuple
- Les soldats continuent de dormir et les infants de causer
- Les temps paniques
- Les têtes du sérail
- Les Trois Cents
- Les Trois Chevaux
- Les tronçons du serpent
- Les Trop Heureux
- Les vierges de Verdun
- Lettre
- Lettre à une femme
- Leurs Altesses
- Liberté !
- Liberté, Égalité, Fraternité
- Lisbeth
- Lise
- Littérature
- Loi de formation du progrès
- Lorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle
- Lorsque l’enfant paraît
- Lorsque ma main frémit si la tienne l’effleure
- Louis XVII
- Lueur à l’horizon
- Lueur au couchant
- Luna
- Lux
- Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
- Ma vie entre déjà dans l’ombre de la mort
- Madame, autour de vous tant de grâce étincelle
- Magnitudo parvi
- Mahomet
- Mai
- Mais, encore une fois, qui donc à ce pauvre homme
- Mais tu brûles !
- Malédiction
- Mansuétude des anciens juges
- Marche turque
- Mariée et mère
- Matelots ! matelots
- Masferrer
- Mazeppa
- Me voici ! c’est moi ! Rochers, plages
- Melancholia
- Mères, l’enfant qui joue à votre seuil joyeux
- Mes deux filles
- Mes poèmes !
- Mes vers fuiraient, doux et frêles
- Mille chemins, un seul but
- Meudon
- Moïse sur le Nil
- Mon bras pressait ta taille frêle
- Mon enfance
- Mon vers, s’il faut te le redire
- Montfaucon
- Mors
- Mugitusque boum
- Muse, un nommé Ségur, évêque, m’est hostile
- N’envions rien
- N’est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente
- N’importe, ayons foi ! Tout s’agite
- Napoléon II
- Napoléon III
- Navarin
- Noces et festins
- Nomen, numen, lumen
- Non
- Non, non, non ! Quoi ! ce roi de Prusse suffirait
- Nos morts
- Nourmahal-la-rousse
- Nous
- Nous allions au verger cueillir des bigarreaux
- Nouvelle chanson sur un vieil air
- Novembre
- Nox
- Nuit tombante
- Nuits d’hiver
- Nuits de juin
- Nuño
- Ô Charles, je te sens près de moi...
- Ô Dieu, dont l’œuvre va plus loin que notre rêve
- Ô Dieu ! si vous avez la France sous vos ailes
- Ô drapeau de Wagram ! ô pays de Voltaire !
- Ô gouffre ! l’âme plonge et rapporte le doute
- Ô Hyménée !
- Ô mes lettres d’amour, de vertu, de jeunesse
- Ô misérable amas de vanités humaines
- Ô mon âme, en cherchant l’azur, ton vol dévie
- Ô muse, contiens-toi !
- Ô Robert, un conseil. Ayez l’air moins candide
- Ô rois, de qui je vois les royaumes, là-bas
- Ô Rus
- Ô sainte horreur du mal ! Devoir funèbre ! ô haine !
- Ô soldats de l’an deux !
- Ô soleil, ô face divine
- Ô souvenirs ! printemps ! aurore !
- Ô strophe du poëte, autrefois…
- Ô temps ! si l’on pouvait dans ton urne profonde
- Ô toi, qui si longtemps vis luire à mon côté
- Océan
- Oceano nox
- Oh ! comme ils sont goulus !
- Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- Oh ! je fus comme fou
- Oh ! je sais qu’ils feront des mensonges sans nombre
- Oh ! les charmants oiseaux joyeux
- Oh ! n’insultez jamais une femme qui tombe !
- Oh ! par nos vils plaisirs…
- Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée
- Oh ! pourquoi te cacher ? tu pleurais seule ici.
- Oh ! quand je dors
- Oh ! qui que vous soyez, qui voulez être maîtres
- Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
- Oh ! quoique je sois, sur la grève
- Oh ! vivons ! disent-ils dans leur enivrement
- On croyait dans ces temps où le pâtre nocturne
- On dit : — Soyez prudents. — Puis vient ce dithyrambe
- On est Tibère, on est Judas, on est Dracon
- On loge à la nuit
- On vit, on parle
- Ora, ama
- Ordre du jour de Floréal
- Orientale
- Orphée, au bois du Caystre
- Où donc est la clarté ? Cieux, où donc est la flamme ?
- Où donc est le bonheur ? disais-je.
- Oui, je suis le rêveur
- Oui, la terre fatale, oui, le ciel nécessaire
- Oui, vous avez raison, je suis un imbécile
- Pacheco, Froïla, Rostabat
- Pan
- Par une sérénade on fête ma clémence
- Parfois c’est un devoir de féconder l’horreur
- Parfois, je me sens pris d’horreur pour cette terre
- Parfois, lorsque tout dort
- Paris bloqué
- Paris diffamé à Berlin
- Paris incendié
- Paris, le grand Paris agonise
- Paroles d’un conservateur à propos d’un perturbateur
- Paroles dans l’épreuve
- Paroles dans l’ombre
- Paroles de Géant
- Paroles sur la dune
- Participe passé du verbe Tropchoir
- Pas de représailles
- Passé
- Pasteurs et troupeaux
- Pati
- Patria
- Patrie
- Pauline Roland
- Paulo « minora » canamus
- Paupertas
- Paysage
- Pendant que la mer gronde et que les vagues roulent
- Pendant que la fenêtre était ouverte
- Pendant que le marin
- Pendant une maladie
- Pensar, dudar
- Pensées de nuit
- Pepita
- Persévérance
- Petit Paul
- Philosophie des sacres et couronnements
- Plein ciel
- Pleine mer
- Pleurs dans la nuit
- Pluie d’été
- Ponto
- Post-scriptum des rêves
- Pour l’erreur, éclairer, c’est apostasier
- Pour les pauvres
- Pourtant, ces myrmidons je les rêve héros
- Prêcher la guerre après avoir plaidé la paix
- Premier mai
- Premier soupir
- Première rencontre du Christ avec le tombeau
- Près d’Avranches
- Printemps
- Progrès
- Promenade
- Promenades dans les rochers (I)
- Promenades dans les rochers (II)
- Promenades dans les rochers (III)
- Promenades dans les rochers (IV)
- Prouesses borusses
- Puissance égale bonté
- Puisqu’ici-bas toute âme
- Puisque j’ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- Puisque je suis étrange au milieu de la ville
- Puisque le juste est dans l’abîme
- Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- Puisque nos heures sont remplies
- Puits de l’Inde, tombeaux !
- Pure innocence
- Qu’est-ce que cette terre ? Une tempête d’âmes.
- Qu’on ne s’y trompe pas, je n’ai jamais caché
- Quand deux cœurs en s’aimant ont doucement vieilli
- Quand Eschyle au vautour dispute Prométhée
- Quand l’eunuque régnait à côté du césar
- Quand la lune apparaît dans la brume des plaines
- Quand le bien et le mal, couple qui nous obsède
- Quand le Cid
- Quand le livre où s’endort chaque soir ma pensée
- Quand les guignes furent mangées
- Quand nous habitions tous ensemble
- Quand tu me parles de gloire
- Quand vous vous assemblez
- Que la musique date du seizième siècle
- Que le sort, quel qu’il soit, vous trouve toujours grande !
- Que nous avons le doute en nous
- Que t’importe, mon cœur
- Que voulez-vous ? L’enfant me tient en sa puissance
- Quelle est la fin de tout ?
- Quelqu’un
- Quelqu’un (Alerte ! un cavalier passe dans le chemin)
- Quelqu’un met le holà
- Quelques mots à un autre
- Querelle du sérail
- Question sociale
- Qui que tu sois qui tiens un peuple dans ta main
- Quia pulvis es
- Quiberon
- Quoi ! rester fraternel, c’est être chimérique !
- Réalité
- Regard jeté dans une mansarde
- Regardez : les enfants se sont assis en rond
- Regret
- Religio
- Remontrances
- Rencontre
- Rencontre d’une petite fagotière
- Réponse à l’esprit des bois
- Réponse à un acte d’accusation
- Réponse à un acte d’accusation – Suite
- Rêverie
- Rêverie d’un passant à propos d’un roi
- Rêves
- Romance mauresque
- Ronde pour les enfants
- Rosa fâchée
- Rupture avec ce qui amoindrit
- Sacer esto
- Sagesse
- Saint Arnaud
- Saison des semailles. Le soir
- Sara la baigneuse
- Satan dans la nuit - I
- Satan dans la nuit - II
- Satan pardonné
- Saturne
- Se laisser calomnier
- Sedan
- Senior est junior
- Sentiers où l’herbe se balance
- Seule au pied de la tour d’où sort la voix du maître
- Soir
- Soirée en mer
- Soit. C’est dit. Tout n’est plus qu’une cendre qui vole
- Soit. Mais quoi que ce soit qui ressemble à la haine
- Soleils couchants
- Sommation
- Sommation irrespectueuse
- Son nom
- Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée
- Sous les arbres
- Sous terre
- Souvenir d’enfance
- Souvenir de la nuit du 4
- Souvenirs des vieilles guerres
- Spectacle rassurant
- Spes
- Splendeurs
- Stella
- Sultan Achmet
- Sultan Mourad
- Sunt lacrymæ rerum
- Suprématie
- Sur la falaise
- Sur le bal de l’Hôtel de Ville
- Sur un homme populaire
- Sur un portrait de sainte
- Sur une barricade
- Suzette et Suzon
- Talion
- Tant qu’on verra l’amour pleurer, la haine rire
- Temps affreux ! ma pensée est, dans ce morne espace
- Ténèbres
- Tentanda via est
- Terre et cieux ! si le mal régnait
- Toi ! sois bénie à jamais
- Toujours le même fait se répète ; il le faut
- Toulon
- Tourmente
- Tous les bas âges sont épars sous ces grands arbres
- Tous les hommes sont l’Homme
- Tout était vision
- Tout pardonner, c’est trop ; tout donner, c’est beaucoup !
- Tout s’en va
- Toute la lyre - Annexes
- Toute la lyre - Introduction
- Toute la lyre - La corde d’airain
- Toute la lyre II
- Toute la vie d’un cœur - 1817 - Adolescence
- Toute la vie d’un cœur - 1819
- Toute la vie d’un cœur - 1820
- Toute la vie d’un cœur - 1822 - Quinze-vingt
- Toute la vie d’un cœur - 1826
- Toute la vie d’un cœur - 1833 - À J...
- Toute la vie d’un cœur - 1835 - Promenade
- Toutes sortes d’enfants
- Tristesse d’Olympio
- Trois ans après
- Tu me vois bon charmant et doux
- Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux
- Tu rentreras comme Voltaire
- Ultima verba
- Un autre
- Un Bon Bourgeois dans sa maison
- Un chant de fête de Néron
- Un cri
- Un grand sabre serait d’utilité publique
- Un groupe tout à l’heure était là sur la grève
- Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble
- Un jour au mont Atlas
- Un jour je vis le sang couler de toutes parts
- Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants
- Un jour, le morne esprit…
- Un jour vient où soudain l’artiste généreux
- Un manque
- Un peu de musique
- Un poète est un monde
- Un soir que je regardais le ciel
- Un spectre m’attendait…
- Une alcôve au soleil levant
- Une bombe aux Feuillantines
- Une fée
- Une femme m’a dit ceci : - J’ai pris la fuite
- Une nuit à Bruxelles
- Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir
- Une tape
- Une terre au flanc maigre, âpre, avare, inclément
- Unité
- Va-t’en, me dit la bise
- Venez que je vous parle, ô jeune enchanteresse
- Veni, vidi, vixi
- Vénus
- Vere novo
- Vers 1820
- Verset du Koran
- Vicomte de Foucault, lorsque vous empoignâtes
- Victor, sed rictus
- Victorieux ou mort
- Vieille chanson du jeune temps
- Viens ! - une flûte invisible
- Vision
- Vision sombre ! un peuple en assassine un autre
- Vivants
- Vœu
- Voici que la saison décline
- Vois, cette branche est rude, elle est noire
- Voix basses dans les ténèbres
- Voix dans le grenier
- Voyage de nuit
- Voyons, d’où vient le verbe ? Et d’où viennent les langues ?
- Welf, Castellan d’Osbor
- Zim-Zizimi
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